Saito KumeMessages : 61 Date d'inscription : 03/09/2011 Surnom : Yang (ヤン) Année : 3ème. Technique de combat : Du kung fu au karaté, Yang maîtrise plusieurs formes d'arts martiaux qu'il pratique depuis son plus jeune âge. N'étant pas du genre a frapper le premier, il est toutefois un expert pour redonner des coups. S'il est blasé, il se contente d'esquiver ! Avatar : G-Dragon (Big Bang)
| Sujet: Saito Kume. {Terminé!} Sam 3 Sep - 19:15 | |
| SAITÔ KUME interprété(e) par (G-Dragon (Big Bang)) ETAT CIVIL
Nom : Saito Kume. Surnom : Yang (ヤン). Age : 19 ans (3ème année). Team : Kinpatsu team, leader. Orientation sexuelle : Aucune préférence. Statut : Célibataire. Technique de combat : Contrairement a d'autres, Kume ne perd pas son sang-froid et ne se laisse pas atteindre facilement par les mots. Il reste d'un calme impassible et se contente de fixer son adversaire d'un regard noir et perçant auquel il semble impossible d'échapper. Il attend la faille chez son opposant qui lui permettra d'attaquer. Non friand des armes, il préfère utiliser des techniques de combat au corps a corps comme le karaté et le kung fu, dans lesquelles il excelle depuis sa tendre enfance. A PROPOS DE KUME
Contrairement a son demi-frère, Kume n'est pas du genre a se laisser aller a la plaisanterie et a rire de bon coeur. Étant le leader de sa petite team, il se verrait bien mal faire l'imbécile a tout bout de champs, alors que tant de choses doivent être prises au sérieux. Il ne s'empêche tout de même pas de sourire, bien que ses expressions de joie ne se résument bien souvent qu'a de petits sourires en coin. Malgré son visage qui reste souvent de marbre, Saito a tout de même de la compassion pour les autres. Sauf ceux qui lui cherchent des problèmes, bien entendu. D'un naturel observateur, lui qui préfère rester dans l'ombre qu'attirer l'attention, il arrive a déterminer qui mérite un sourire, et qui mérite plutôt un de ses regards assassins. Il ne se bat pas toujours pour les bonnes raisons, car un duel imprévu peut l'occuper durant un certain temps, mais ne prend pas de décisions sur un coup de tête, sachant pertinemment que s'il se bat, toute sa bande suivra. Il peut parfois montrer des signes d'impatience envers les trois autres garçons qui forment sa team malgré le fait qu'il soit plus chaleureux avec eux. Même s'il ne le dira jamais, ils sont pourtant ses seuls vrais amis, les seuls a qui il fait réellement confiance, et il les apprécie énormément. Une dernière chose, même si beaucoup n'ont pas été dites : Kume n'a jamais eu de relation amoureuse et se fiche de son orientation, car personne n'a sus lui faire baisser sa garder jusqu'a maintenant. Et, sérieusement, il s'en fiche un peu, car pourquoi aurait-il besoin de quelqu'un d'autre ? |
© Minn | BIOGRAPHIE
Saito Kume n'a jamais vécu dans la misère. Il ne s'est pas non plus fait battre ( ou presque ) durant son enfance. Il n'avait ( pratiquement ) pas de problèmes a l'école. Pourquoi est-il donc devenu le leader d'un petit groupe reconnu d'un établissement pour les délinquants ? Tout simplement parce qu'il en avait envie. Parce que ce monde est le siens, celui dans lequel il a toujours vécu et que sans lui, il serait bien trop désorienté. Toujours maitre de lui-même, il n'aurait pas sus comment se débrouiller dans le monde ''normal'', la ou les étudiants se contentent d'écrire des méchancetés au tableau pour atteindre le point sensible d'une personne en particulier. Né dans une famille plutôt inconventionnelle, celui qui se fait maintenant appeler Yang n'en a pas totalement souffert.
Son père, il ne le connait pas vraiment, et cela lui importe peu, car sa mère arrivait a représenter a elle seule un être maternel et fort. De plus, pourquoi avoir besoin d'un père lorsqu'on a a sa disposition plusieurs figures masculines qui peuvent lui apprendre ce qu'il doit savoir ? Sa mère, Kumiko, l'avait involontairement introduis dans le monde de la délinquance. A l'origine une jeune fille sage et studieuse, aimée de tous, Kumiko avait choisis de délaisser ses livres et ses parents trop controlants pour vivre une vie plus excitante et, surtout, pour apprendre les arts martiaux, sa vraie passion. Devenant vite amie avec les yankis du coin, elle avait appris a se battre et a se faire respecter, autant des filles que des garçons. Loin d'être simple d'esprit, la jeune femme réussit tout de même a se trouver un bon emploi, cachant a tous ses fréquentations. Elle se mit alors a fréquenter un certain Saito et tomba enceinte, quelques mois plus tard. Étant lui-même un genre de yakuza, il n'accepta pas son rôle de père, se sentant enchainé par le devoir, et disparut du tableau peu de temps après, ne laissant a sa progéniture que son nom de famille. Révoltés par l'attitude lâche de l'homme, les amis de Kumiko, qui étaient maintenant plus soudés que jamais, l'aidèrent. C'est ainsi que l'un lui apprit a se battre et l'autre a ne pas se laisser atteindre par les autres.
Deux ans après sa naissance, sa mère mit au monde un deuxième enfant, Toru. Le petit garçon s'attacha tout de suite a son demi-frère, qu'il considérat plus tard comme frère de sang malgré leurs provenances différentes, et le protégea du mieux qu'il put. Malgré leur entourage peu familier, les deux gamins allèrent tout de même a l'école, comme tous les autres. Kume n'était pas premier de classe, mais pas dernier non plus, et se débrouillait tout de même. Il préférait rester dans son coin, son frère sur les talons, et observer plutôt que de se joindre aux autres. Il détestait l'école, qui était si différente de son mode de vie habituel. Il trouvait toute cette ambiance trop calme et ennuyante. Alors que Toru et lui jouaient aux ninjas et se donnaient quelques coups pas très douloureux pour s'amuser, les autres enfants se contentaient de jouer a chat et de courir d'un côté et de l'autre en riant. Tout était si différent. D'ailleurs, le petit l'avait appris a ses dépends, le jour ou il avait voulu jouer avec un autre petit garçon et qu'il lui avait donné un coup de pied pour rigoler. L'autre s'était mis a pleurer, au désharrois de Kume, qui ne cessait de répéter ''Mais j'ai même pas frappé fort !!''
Lorsqu'il atteignit l'étape de l'adolescence, Saito décida qu'il en avait assez de tous ces jeux puérils. Au départ, il se battait simplement pour le plaisir, pour parfaire ses techniques, et réalisa bien vite que faire du mal pour la joie de le faire ne lui correspondait pas. Il préférait attendre que quelqu'un se présente a lui en le défiant pour se permettre de lui casser la gueule. Il continuait de trainer avec son frère, eux qui étaient devenus inséparables, si bien que les gens de leur ''famille'' commencèrent a les appeler Ying et Yang en rigolant. L'un plus sombre, l'autre plus lumineux, les deux se complétaient. Par un étrange concours de circonstances, ils rencontrèrent Koichi et Ryu, avec qui ils devinrent amis, trainant toujours ensembles, faisant parfois des conneries qui dérangeaient le voisinage. Sans vraiment s'en rendre compte, les quatre jeunes hommes commençaient déja a former un gang qui ne serait plus inconnu pour très longtemps.
Kume découvrit plus tard l'existence d'un établissement réservé aux ''délinquants'' dans son genre, et ce fut comme une révélation. Les étudiants risquaient de se battre, de s'intimider, et de démontrer quelconques talents de combat et de défense. Tout de suite intéressé, il s'y inscrit, bien entendu suivit de son frère et de leurs deux amis. |
LE JOUEUR
Surnom : Minn ! Age : Encore 17 ans... Comment as-tu connu le forum ? D'un membre. Statistique : Peut-être 3-4/7. L'école, ça gruge le temps ! Exemple de RP : - Spoiler:
Je me suis renfrogné un peu, mais je l'ai laissée parler. Oui, d'accord, je suis un fils a papa, et puis quoi encore? Est-ce que c'est complètement de ma faute, si j'ai un père qui ne me laissait rien faire? Je me suis contenté de lui sourire un peu faussement. Mieux valait partir du bon pied... Ah, du bon pied, je me fais rire moi-même juste en y repensant. Ça n'aurait pas pu aller plus mal, et même si je me forçais a sourire, elle m'envoyait presque balader. Je n'avais pas trop envie de sortir mes bonnes manières avec elle, comme j'en avais l'habitude, et j'oubliai donc toute forme de courtoisie a son égard en me dépêchant pour passer avant elle. Les femmes d'abord? Elle pouvait bien courir pour y arriver. Lorsque je vis que nos sièges étaient côte a côte (c'était un peu évident, mais on peut toujous espérer...), je me suis tout de même forcé a lui parler un peu, puisque le voyage était déja long au départ. Je me permis d'avoir un petit rictus lorsqu'elle me répondit en soupirant, rire qui en disait long.'' Qui a dit que j'essayais d'être ton ami? Nous savons aussi tous les deux que ça risque d'être très long, alors pourquoi ne pas se forcer un peu pour que ce soit disons... plus agréable? '' Passant ma tête par dessus les accoudoirs pour me rapprocher un peu plus d'elle, alors qu'elle faisait de même (si elle pensait m'intimidier...) sur un ton de confidence, je lui fis un de mes petits sourires et me râclai la gorge en lui faisant signe de s'approcher un peu plus de moi. '' Et puis, tu n'es pas mon genre de personne, certes, mais quand je repense a la façon dont tu m'as presque... comment dire? Séquestré dans la cabine de la salle de bain, je commence a me demander si je ne serais pas un tout petit peu ton genre, n'est-ce pas? '' Toujours en souriant et en soutenant son regard, je repris ma place, ouvrit un magazine quelconque parmis la grande variété qui nous était offerte, et entreprit de lire des choses bien inintéressantes. '' Oui, très clair. Je risque d'ailleurs de faire de même, mis a part peut-être le fait de coucher a un brésilien. Je peux m'en passer. '' Une hôtesse s'arrêta alors près de nous et nous demanda si nous voulions quelque chose a boire. J'acceptai donc de prendre, a mon tour, une coupe de champagne. Siroter un verre ne me ferait pas de tord.
En tournant légèrement les yeux, j'apperçu Li Juan qui prenait des pillules dans ses mains, m'en offrant. Ah, mais qu'elle gentillesse de sa part! Je refusai d'un léger hôchement de tête, délaissant mon magazine pour sortir mes choses, c'est a dire du travail personnel que je m'étais apporté pour passer le temps. Eh oui, même en vacance, je ne peux m'empêcher de travailler mais, au moins, j'aime ça. Durant une bonne heure, au moins, je lisais dans des bouquins, prenait des notes dans mon cahier prévu a cet effet, mes écouteurs dans les oreilles. J'étais certain que ma ''compagne'' dormait déja, puisque je n'avais pas vraiment levé les yeux vers elle, mais c'est lorsqu'elle apparut dans mon champ de vision malgré ma tête baissée que je réalisai que quelque chose clochait. Une mine d'incompréhension s'afficha alors sur mon visage, alors que je refermai mon cahier et enlevai mes écouteurs. Je croyais qu'elle ne désirait aucune interaction entre nous? Je me suis donc tourné, et son visage m'a frappé. Un sourire comme ça, sur le visage d'Evans Li Juan, n'était pas quelque chose de normal. On aurait presque dit qu'elle venait d'apprendre la meilleure nouvelle, qu'elle qu'elle soit, au monde. ''Euh, est-ce que...?'' Je n'eus même pas le temps de terminer ma phrase qu'elle riait déja comme une demeurée. Si c'était ça, pour elle, avoir du bon temps, je pouvais bien m'en abstenir, merci. Je commençais a être un peu fatigué, et remit donc mes écouteurs, tout en la toisant comme si elle était une chose pathétique. Puis, je mis le masque, pour éviter d'avoir a regarder une nouvelle fois, la petite couverture, et tournai la tête du côté opposé. J'allais pouvoir me reposer un peu.
Depuis mon enfance, j'ai l'habitude de rêver a des choses que je ne peux pas avoir. Oh, pas matérielles, puisque de ce côté, j'étais bien gâté. Mais je m'endormais le soir en m'imaginant que mon père se décidait a me laisser sortir et aller voir mes amis, bien qu'innexistants, dans mes rêves j'en avais tout plein. Ce fut la même chose pour ce court instant, dans l'avion, ou j'espérais de tout coeur pouvoir m'endormir rapidement et rester assoupis durant tout le temps du vol. Mais mes songes furent brisés par ce qui me semblait être une main, qui s'étampa presque violemment sur mon nez. Le masque descendit au contact de cette main, me laissant un oeil a découvert, et c'est la que je revis, encore une fois, cette chère Li Juan qui m'observait en souriant. J'arrachai le masque et enlevai la couverture. '' Seriez-vous stupide, très chère? J'ai fais quelque chose qui me vaut une bonne claque? '' Si, au départ, je trouvais la situation juste surprenante, elle commençait a me tapper sur le système. Peut-être avait-elle mal réagit a ses somnifères, qui sait? Ça arrive de prendre des médicaments pour lesquels nous avons des allergies, sans le savoir. Me tournant vers elle, je tendis la main. J'allais dormir coute que coute, d'accord? Elle me donna deux cachets, que je fourrai dans ma bouche sans plus attendre, vidant ma coupe d'un trait afin de les avaler. Et l'enfer qui, dans mes yeux a ce moment, eu l'air d'un paradis, débuta. Je n'ai jamais su, par la suite, ce que c'était. Mais je peux vous assurer qu'il ne s'agissait pas de somnifère. Loin de la.
Après une heure, a mon tour, j'eu l'air aussi imbécile qu'elle. Je ne me souviens plus exactement ce que nous avons fais, mais je me rappelle que nous nous sommes mis a rire aux éclats, si bien que les hôtesses ont dut nous avertir, car nous dérangions les autres passagers. A partir de ce moment, Li Juan et moi avons parlé a voix basse, vous savez, quand vous essayez de chuchotter mais que tout le monde vous entend quand même. Et le simple fait de le savoir nous faisait rire encore plus, alors que nous engloutissions a tour de rôle du champagne. Je n'étais peut-être pas son genre d'ordinaire, mais il fallait croire que saoul, je l'intéressais un peu plus! Le vol se passa plutôt rapidement, puisque, a bout, nous nous sommes finalement endormis après quelques heures. Une hôtesse est gentiment venue nous secouer (gentiment, car c'était son devoir, mais vu son expression, cela ne l'enchantait guère) pour nous avertir que l'avion allait bientôt atterir, et c'est la gueule de bois, décoiffé et avec un puissant mal de tête que je me suis relevé. Ça aurait pu être pire. Après plusieurs minutes d'attente, qui paraissaient drôlement interminables, le signal a été donné. Nous nous sommes donc levés afin de sortir, avant ceux de la classe moyenne, et je rangeai mes effets personnels qui se trouvaient un peu partout sur mon siège et sur le plancher. Le soleil eu un effet fulgurant sur moi, comme si j'étais un vampire qui sortait au grand jour, et je dus enfiler des lunettes de soleil, tentant de faire baisser la pulsion qui battait dans mes tempes.
''- Qu'est...ce qui s'est passé, Li Juan..? ''
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