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 Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]

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Mizukawa Naoki
Mizukawa Naoki


Messages : 89
Date d'inscription : 19/08/2011

Surnom : Mieux vaut pas s'essayer... (Kakao pour les intimes)
Année : 2e
Technique de combat : Se battre? Très peu pour moi; je préfère l'intimidation au vrai combat, lorsque vient le moment de sortir les poings, je laisse plutôt le plaisir au reste de ma bande de le faire. Mais si je ne peux éviter de m'y mêler moi aussi, je suis reconnu pour avoir une excellente défense et une grande vitesse. J'utilise le style boxe en ce qui concerne l'attaque.

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MessageSujet: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyVen 19 Aoû - 23:37

Vendredi, Mercredi, Jeudi, Lundi? Quel jour on était? On s'en fou. Naoki s'en foutait. Il avait décidé de sortir, d'aller en boite, de boire un verre ou quatre. De rentrer à sa chambre par Dieu ne savait quel moyen... Et de ne pas rêver.
Surtout de ne pas rêver. S'il était assez bourré, il ne rêverait pas. Ses rêves étaient hantés, il préférait ne pas fermer l’œil de la nuit plutôt que de rêver à cette idiote. Il ne rêvait pas vraiment à elle, elle était là, tout le temps, dans un coin de ses rêves, comme un fantôme, une âme vengeresse.
Peut-être que c'était sa conscience qui lui disait de lâcher la jeune fille, de changer de proie, de diriger ses attaques contre quelqu'un d'autre, mais au contraire, il se réveillait avec l'envie insatiable de la tourmenter encore et encore. Elle lui sortait par tous les pores de la peau.
Alors il avait trouvé une solution; ne pas rêver, ne pas penser à elle.

Naoki enfila un pantalon noir serré et un débardeur noir par-dessus laquelle il mit une veste noire à pois blancs. Il coiffa rapidement ses cheveux blonds tentant d'avoir l'air décontracté. L'adolescent mettait beaucoup de temps et d'énergie sur son apparence, mais tentait toujours de faire croire que ce n'était pas le cas.
Le jeune homme sorti de sa chambre, rejoignant le reste de ses amis devant la porte de l'école avant leur escapade en ville.
Il y avait cours le lendemain? On était certainement pas samedi alors.


L'atmosphère des clubs, les filles, l'alcool, la musique. Naoki sourit. Un sourire vrai, loin de ce sourire en coin parfois méprisant, parfois dangereux.
« Hey, Naoki-kun. Regarde au bar. C'est pas...»
Le sourire s'évanouit, Naoki grinça des dents.
« Merde, elle est partout...» chuchota-t-il.
Si ses amis se mirent à rire; c'est qu'ils ne savaient pas ce qui se passait lorsqu'il fermait les yeux. Elle était réellement partout.

Le japonais savait très bien que tenter de l'ignorer serait impossible. Il fit donc signe à ses amis de ne pas le suivre et se dirigea droit vers sa victime. Elle était entourée de mecs qui la dévorait des yeux, et s'ils étaient encore là, c'est qu'aucun n'avait encore tenté de la draguer. Il la connaissait bien cette Gaijin. Elle l'énervait, bon Dieu qu'elle l'énervait. Et ces mecs, ils l'énervaient aussi. Il avait envie de leur arracher la gorge, elle et les mecs. Tous.
Naoki continua donc à s'approcher de Gaijin, échafaudant un plan dans sa tête; comment gâcher sa soirée? Elle avait bien gâché la sienne n'est-ce pas? Lui renverser un verre sur la tête? Trop fille. L'insulter? Trop facile.
Dix pas, neuf pas, huit pas. Leurs yeux se rencontrèrent. Trois pas, deux pas, un pas...
Naoki regarda le harem de la jeune femme, un par un. Ils le regardaient aussi. Son demi-sourire avait réapparut. Il avait un plan, un excellent plan. Elle serait folle de rage et eux foutraient le camp. D'une pierre deux coups.

Pas d'avertissements, pas d'indices non. Il était rapide ce Naoki. Sans hésiter, il porta sa main droite à l'arrière de la nuque de la jeune fille avant de plaquer ses lèvres contre les siennes. Profitant de l'effet de surprise, il glissa sa main sur les shorts de Karin. Ils étaient courts, si courts qu'en descendant sa main, il toucha ses jambes.

Il ne fallait pas lui laisser le temps de réagir. Aussi rapidement qu'il l'avait embrassé, il la lâcha puis essuya sa bouche du revers de la main, un air plein de lui-même collé au visage. Mission accomplie. Le jeune homme s'accota au bar et commanda deux shooters avant de se tourner vers Karin.

« Alors Gaijin, on s'amuse bien ce soir? »
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Maeda Karin
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Surnom : Gaijin (外人, étranger)
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Technique de combat : • Indépendants, elle ne veut pas qu'on la commande.
• a longtemps fait de la boxe française et de l'escrime, elle arrive à taper son adversaire avec toute la force qu'elle a sans se fatiguer.
• fait aussi du yoga pour canaliser ses émotions.



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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptySam 20 Aoû - 0:09

tenue du jours

Les soirées, la musique à fond, la danse, le goût de l’alcool dans la bouche, c’est le genre de chose qui mettait Karin dans son élément . Quand elle était encore en France, elle passait la plupart de ses soirées en boîte pour s’amuser et danser bien sur, même si au final cela finissait toujours de la même façon par des bagarres à cause de l’alcool accumulé. Mais même avec de l’alcool dans le sang, Karin arrive à rester assez clair dans sa tête pour pouvoir savoir ou placer les coups qu’elle donne pour que cela fasse mal, très mal … Après quelques mois sans y avoir mit les pieds, Karin se décida enfin à retourner dans ces lieux qu’on appelle plus simplement les boîtes de nuit, bien sur Karin y est allé en solitaire n’aimant pas vraiment avoir des chien-chiens qui la suivent toute la journée comme pourrait aimer certaine leader de team, enfin si on peut les appeler des leader, car niveau bagarre, ils ne sont pas vraiment au top. Après s’être habillé d’un short blanc et d’un débardeur moulant violet, elle laissa ses cheveux naturellement frisé et se mit juste un peu de maquillage pour faire ressortir ses yeux. Elle mit aussi des talons depuis quelques temps, maintenant ils étaient rester dans son placard enfermé. Elle s’éclipsa de l’internat du mieux qu’elle pouvait même si les surveillants n’étaient surement pas là, ils avaient trop peur pour ça. Elle escalada la porte avec facilité même si elle portait des talons et se dirigea d’un pas sur vers la boîte de nuit la plus proche. Elle passa sans problème la porte, et regarda partout autour d’elle, il y avait beaucoup plus de fille de son établissement qu’elle ne le pensait mais bon, elle s’en fichait elle n’était pas là pour se battre… du moins pas ce soir. Elle se dirigea vers le bar et s’y assit tranquillement, elle regarda le serveur avec un grand sourire, bien sur elle n’avait pas penser à prendre de l’argent, alors la jeune française va surement devoir utiliser son charme pour avoir de l’alcool. Elle commanda une vodka orange comme à son habitude et commença à la boire tranquillement, tout en regardant tout autour d’elle. Elle sourit en voyant plusieurs garçons la regarder, elle avait l’habitude à force mais bon le peu qui on osé la toucher, on fini avec le nez péter alors maintenant ils se méfient tous.

Les garçons en question devaient être quatre ou cinq, elle ne voyait pas d’où elle était mais en les voyant se lever pour venir la rejoindre, la jeune française put mieux compter et en effet, ils étaient bien cinq. C’est à peine, si ils ne se battaient pas pour lui offrir un verre ce qui fit rire la jeune française. Même si elle n’était jamais sortit avec un garçon et qu’elle n’avait jamais eu son premier baiser, une chose est sur elle savait comment plaire aux hommes et en jouait bien tant que cela n’allait pas trop loin non plus. Elle rigolait bien avec eux, c’était bien la première fois qu’elle s’amusait autant avec des garçons sans les connaître et sans s’être battu avant. Elle détourna le regard pour attraper son verre quand elle croisa le regard d’un autre garçon, elle laissa échapper un gros merde quand elle le vit lui. Naoki ou Kakao pour les intimes, c’est fou comment ce type pouvait la mettre hors d’elle et pourtant, elle ne l’avait pas encore frapper… J’ai bien dit pas encore, car il se rapprochait d’elle et vu le regard et le sourire qu’il a, il a quelques choses en tête. Une fois près d’elle, elle n’eut pas le temps de lui dire de dégager, qu’elle sentit quelques choses d’humide se poser sur ses lèvres, elle ouvrit grand les yeux. Il venait juste de l’embrasser ! Son premier baiser, elle l’avait perdu avec un type comme ça ! Quand il se dégagea, la jeune française resta bouche bée, on peut dire qu’il l’avait prise par surprise ce coups là. « Alors Gaijin, on s'amuse bien ce soir? » Elle ferma les yeux quelques secondes avant de le regarder les yeux rempli de haine mais avec un sourire au coin. Elle se leva avant de donner un coup de pied dans le tabouret ou elle était assise qui recula de plusieurs mètre. Elle serra les poings et pencha la tête sur le côté.

« Une très bonne soirée et encore, elle n’est pas fini le meilleur reste à venir. Je n’ai jamais eu le plaisir de te faire ce que je vais te faire, la chose que je fais à chaque mec qui ose me toucher, tu ne dois pas connaître, ne ?! »

Elle eut juste le temps de finir sa phrase avant que son poing ne parte à une grande vitesse dans le nez du jeune nippon. Tout le monde pouvait voir le ralenti se mettre, mais le poing à été si rapide qu’il n’eut pas le temps de bouger. Après un crac, la jeune fille passa son bras sur ses lèvres et fit un grimace avant de sourire en voyant le nez de Naoki en sang. Elle rigola de plaisir avant de se retourner vers la piste de danse, elle commença à faire quelques pas avant de se retourner et de rigoler une nouvelle fois.

« Au faite Kakao ! Je t’emmerde ! »

Dit-elle en lui faisant le doigt d’honneur. Elle lui fit un clin d’œil avant d’entrer dans la piste de danse, elle rejoignit les mecs qui étaient parti après avoir vu Naoki l’embrasser, d’ailleurs en y repensant, elle venait vraiment de perdre son premier baiser avec un mec … Qu’elle n’aimait pas ?! Elle leur sourit avant de commencer à bouger au rythme de la musique et le pire dans tout ça, c’est qu’il l’avait toucher en même temps, elle avait sentit sa main se poser sur sa cuisse nu bien sur…
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Mizukawa Naoki
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptySam 20 Aoû - 1:03

« Naoki, fait attention avec ce couteau tu vas finir par te cou... QU'EST-CE QUE JE T'AVAIS DIT NAOKI! »
On aurait pu dire que la mère de Naoki était une mère poule comme les autres, mais elle avait des raisons de veiller sur son petit garçon. Une coupure, on met un papier essuie-tout et de la pression, puis ensuite on désinfecte et on met un sparadrap et c'est fini. Mais pas avec Naoki. Avec Naoki, une simple coupure pouvait emmener une hémorragie si elle était profonde.
Une mutation, quelque chose qui arrive très rarement, mais qui est la plupart du temps de famille; l'hémophilie.

En grandissant, Naoki avait beau être devenu du genre bagarreur, il avait beau provoquer les batailles et les disputes, il se mêlait que très rarement de ces escarmouches. Il était rapide simplement pour éviter les coups, il avait une bonne défense simplement pour éviter d'être blessé, il savait donner des bons coups simplement pour s'en sortir plus rapidement.
Lorsqu'il était plus jeune vers 15-16 ans, il n'était pas rare qu'après ces altercations qu'il se ramasse à l’hôpital. Une simple contusion pouvait renfermer une immense poche de sang prête à l'empoisonner à mort. En vieillissant, le japonais avait appris à se défendre, à éviter les blessures.

Mais comment aurait-il pu imaginer que cette Karin serait la première en tant d'années à réussir à l'atteindre. Il était rapide, il avait des réflexes de dingue, il pouvait parer un coup, mais pas celui-là. Et celui-là le frappe de plein fouet.
Naoki ne savait pas trop s'il lui en voulait d'avoir abimé son nez si parfait ou bien parce qu'elle l'avait frappé. Jusqu'à maintenant, elle ne l'avait jamais fait. Qui aurait cru qu'elle aurait tenté sous l'attention des doormans? Si elle cherchait à se faire mettre dehors, pas lui.
La satisfaction qu'il avait ressenti pendant quelques instants avait maintenant laissé place à un gout amer (très probablement le gout du sang).
Ses verres étaient arrivés, il les bu d'une traite, espérant engourdi légèrement la douleur. Beaucoup d'yeux étaient braqués sur lui. Il aimait être le centre l'attention, mais pas cette fois. Pas cette fois, parce que cette attention, c'était celle qu'on portait au perdant. Non, il n'allait pas la laisser gagner si facilement.
L'adolescent essuya le dessous de son nez; déjà le sang avait commencé à couler. Du coin de l’œil, il vit ses amis s'approcher d'un air alarmé.
Non, non, non! Ça ne pouvait pas finir comme ça...

Se frayant un chemin dans la foule sur la piste, il boucha son nez pour éviter que le sang se mette à couler sur ses vêtements.
Mais quelle salope!
Elle était là, à se trémousser au milieu de tous ces hommes. Et y'en avait un en particulier, si proche d'elle... Il la détestait, il les détestait. Avec un cris de rage, il envoya son poing gauche exactement au même endroit où Karin l'avait frappé avant. L'homme s'étala de tout son long sur la piste. À vrai dire, le coup était destiné à Karin, mais il ne pouvait pas la frapper. Il pouvait la gifler, oui il pouvait, mais pas la frapper. À nouveau, il attrapa la jeune fille par la nuque, simplement pour la retenir.

« Gaijin, tu penses que tu écoperais pour combien d'années de prison pour avoir tué un homme? Tu vas à gauche et à droite, tu frappes qui passe ton chemin sans penser aux conséquences. Je tenais juste à te dire que quand je me met à saigner, ça ne s'arrête pas. En plus tu m'as brisé un os... » Il éclata de rire, un rire plutôt pale. Tout comme lui; il était blanc d'habitude, mais il était aussi livide qu'un mort à ce moment. « ... C'est très, très, très mauvais. Vas-tu arrêter d'agir comme une idiote un jour? »

Ce n'était pas que l'étudiant ne supportait pas la vue du sang, mais l'idée que son propre sang soit déversé le rendait quelque peu... faible. Les doormans arrivaient presque à leur hauteur. Il n'avait plus que quelques secondes pour déversé son venin.

« Au fait, Gaijin, je me demandais; tu serais pas lesbienne par hasard? Tu repousses tous les hommes qui passent ton chemin. Ça doit être ça non? Ou bien... c'est juste la peur de l'inconnu? »

Il leva un sourcil. Savait-elle seulement ce qu'il sous entendait? Deux hommes costaux attrapèrent le jeune homme tellement brusquement que son cellulaire tomba de ses poches. Il tentât de protester, mais déjà les doormans le sortaient par la porte de derrière dans une petite ruelle.

Tout ça pour ça?
Naoki s’accota au mur, et se laissa glisser jusqu'au sol humide. Il y avait une poubelle juste à côté, mais à vrai dire, l'odeur ne se rendait pas à ses narines. Elle avait réellement cassé son nez! Et ça s’annonçait mal; il avait trop de sang dans la bouche.
Naoki ferma les yeux. Quelqu'un finirait bien par le trouver. Non?
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Maeda Karin
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptySam 20 Aoû - 1:31

Qui aurait cru que cette soirée aurait été comme ça, certes elle n’avait pas prévu de se battre ce soir, elle n’avait d’ailleurs jamais prévu de perdre son premier baiser ce soir avec un connard comme Naoki, mais ça c’est passé. Il a fallu qu’il vienne encore une fois tout gâcher, alors que pour une fois elle n’avait rien demandé. A croire, qu’elle était vraiment sa tête de turc, mais le seul problème c’est qu’il n’a pas réfléchi avant de s’attaquer à elle et de la prendre pour cible. Elle n’était pas simple et avait un caractère bien à elle, elle est comment dire … Digne d’une étrangère, impulsive et bagarreuse à souhait. C’est pour ça qu’elle lui a mit un pain en pleine poire, il l’avait embrasser après tout, c’était son premier baiser, elle n’aurait jamais voulu le perdre surtout avec lui. Après lui avoir mit une bonne droite dans le nez, qui à mon avis ne doit plus être très droit. La jeune française se dirigea d’un pas sur vers la piste de danse ou elle retrouva le groupe de mec qui était partit après la bagarre, Gaijin commença à se déhancher avec eux. Mais bien sur, il y en avait toujours un plus proche que les autres et encore il n’était pas encore assez proche pour la toucher, donc elle n’avait pas à le frapper. Mais bizarrement celui-ci se retrouva par terre avec le nez en sang lui aussi, Gaijin se retourna et se retrouva nez à nez en face d’un Naoki en colère. Ouhhh, ça va surement chauffer pour Karin… Ou pas. Il lui attrapa sa nuque comme il l’avait fait pour l’embrasser et tout de suite, Karin se raidit il n’allait quand même pas recommencer sinon là, elle lui pète un bras ou … alors une jambe. Mais ce ne fut pas le cas, heureusement pour elle et surtout pour lui, elle n’avait pas encore digérer le faite qu’elle est perdu son premier baiser. « Gaijin, tu penses que tu écoperais pour combien d'années de prison pour avoir tué un homme? Tu vas à gauche et à droite, tu frappes qui passe ton chemin sans penser aux conséquences. Je tenais juste à te dire que quand je me met à saigner, ça ne s'arrête pas. En plus tu m'as brisé un os... » Peut-être 10 ans ou même plus ou alors, elle arriverait à faire comprendre au juge que c’était de la légitime défense… Mais Karin ne comprenait pas pourquoi, il parlait de mort tout d’un coup. Karin est une tête brûlé, elle ne pense jamais au conséquence et ce n’est pas maintenant qu’elle va commencer. Elle l’entendit rire ce qui l’étonna. « ... C'est très, très, très mauvais. Vas-tu arrêter d'agir comme une idiote un jour? » Karin ne pourra jamais compter le nombre de fois qu’on la traite d’idiote, rien que par son père qui l’appelle toujours comme ça depuis qu’elle est devenu une yankii. Elle sourit avant de faire non de la tête, elle n’allait pas arrêter de faire l’idiote car être idiote est dans sa nature et elle ne veut pas changer.

Elle tourna les yeux et remarqua les doormans s’approchaient d’eux, signe qu’il allait surement finir dehors ou alors elle aussi avec lui … Tu parles d’une soirée tranquille, une première depuis longtemps qui se termine… assez mal à première vue. « Au fait, Gaijin, je me demandais; tu serais pas lesbienne par hasard? Tu repousses tous les hommes qui passent ton chemin. Ça doit être ça non? Ou bien... c'est juste la peur de l'inconnu? » Karin serra les dents et les poings évitant de lui redonner un coup de poing en plein pif. Elle n’eut rien le temps de dire avant que deux doormans n’attrape Naoki et ne l’emmène dehors, elle fit signe à l’autre qu’elle pouvait sortir toute seule, elle s’arrêta quelques pas après et ramassa le téléphone de l’autre baka. Elle continua son chemin et sortit par la même porte que Naoki, elle le regarda pendant quelques seconde avant de pencher la tête sur le côté.

« Je n’ai pas peur de l’inconnu et je ne suis pas lesbienne, les hommes ne sont juste pas assez intéressant pour moi. TU n’es pas assez intéressant pour que je te laisse me toucher, surtout que je ne suis sans doute pas la première que tu embrasses, n’est ce pas ?! … Tien portable ! »

Dit-elle en soupirant. Elle lui lança le portable qui arriva sur le ventre à Naoki, elle reposa une nouvelle fois son regard sur la ruelle et soupira. Elle avança de quelques pas pour repartir dans son dortoir mais se retourna vers Naoki, elle le regarda pendant quelques secondes avant de revenir sur ses pas et de s’arrêter devant lui, elle l’attrapa par l’épaule et le redressa avant de passer son bras autour de ses épaules. Elle grimaça rien qu’en pensant au faite qu’il la touche encore une fois.

« Malgré le faite que tu m’as vraiment énerver et que tu te comportes vraiment comme un gros gamin prétentieux et sur de lui. Je peux pas te laisser comme ça, allez viens ! Je t’emmènes à l’hôpital. »

Dit-elle en avançant dans la rue avec lui, heureusement qu’elle a fait de la boxe pour se muscler car il n’est vraiment pas léger. Elle alla un taxis qui s’arrêta assez vite, pour une fois et monta dedans après lui. Elle demanda au chauffeur de l’emmener à l’hôpital, il se fit transférer en soin intensif et Karin attendit dans le couloir, on lui posa plusieurs questions comme comment c’est arrivé ? et comme excuse, elle répondit qu’il s’était prit une porte en pleine face. Le genre d’excuse pourrit que tout le monde croit, une heure plus tard, elle put enfin aller le voir dans sa chambre même si cela ne l’enchantait pas. Elle ouvrit la porte sans toquer et le regarda alors qu’il avait les yeux encore endormi, elle se posa contra la porte de la salle de bain et le regarda.

« Alors comment va le blesser de guerre ?! N’essaye pas de faire semblant de dormir, je reconnais la respiration des personnes qui dorment et là, tu ne dors pas ! »

Dit-elle en levant les yeux au ciel. Elle y avait été peut-être un peu fort mais après tout, elle ne savait pas qu’il avait une maladie du sang comme ça et heureusement que cette maladie n’existe pas pour les filles car sinon avec leur règle … Enfin bref…
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Mizukawa Naoki
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptySam 20 Aoû - 3:53

Le bruit de la porte arrière qui s'ouvrait à nouveau fit ouvrir les yeux paresseusement à Naoki. Il avait abandonné l'idée d'arrêter l’affut de sang; de toute façon après 19 ans de vie il savait que ça ne servait à rien, il saignerait jusqu'à ce qu'on le bourre de médicaments.
Sa vie en dépendait, mais il ne voulait rien dire à Karin. Il lui avait dit qu'il n'arrêtait pas de saigner lorsqu'il commençait, c'était déjà beaucoup trop.
Naoki aimait sa réputation de personne confiante en elle, arrogante et méprisante. Il aimait que les gens pense qu'il ne se battait que très rarement que parce qu'il pouvait se le permettre. Si les gens venaient à connaitre sa faiblesse... S'en serait fini de lui. Si Karin savait...

« Je n’ai pas peur de l’inconnu et je ne suis pas lesbienne, les hommes ne sont juste pas assez intéressant pour moi. TU n’es pas assez intéressant pour que je te laisse me toucher, surtout que je ne suis sans doute pas la première que tu embrasses, n’est ce pas ?! … Tien portable ! »

Ah, Gaijin! Tout aussi paresseusement qu'il avait ouvert les yeux, un sourire amusé se dessina sur ses lèvres.

« ... Comme si j'étais le premier mec que tu embrassais... » dit-il tout en recevant le portable sur le ventre. Dire merci? Il n'en était même pas question.

Il voulait lui faire remarquer que c'était justement bizarre qu'elle ne s’intéresse pas à lui. Après tout... Beaucoup de filles s’intéressaient à lui. Il n'avait généralement pas besoin de leur porter attention, elle lui tombait dessus (et parfois littéralement). Il n'avait pas besoin de faire d'avances; elles se déshabillaient d'elles-même. Il n'en avait rappelé aucune, il se faisait même une grave réputation, mais elles continuaient de venir à lui. Quant à Karin... À vrai dire, vu le nombre de fois qu'il s'amuser à l'énerver par semaine, elle avait des raisons de ne pas s’intéresser à lui. Mais elle devait bien le trouver attirant, non? Naoki était de plus en plus convaincu qu'elle était réellement lesbienne.
Dommage, il avait beau ne pas pouvoir la sentir, il ne pouvait pas nier le fait qu'elle était mignonne dans son genre.
Perdu dans ses pensées, il n'avait pas vu la jeune femme partir et revenir. Non, il ne sentit que le contact de sa peau douce. C'était la première fois qu'il la touchait réellement. Un peu plus tôt il l'avait fait, mais n'y avait porté aucune attention. Il n'avait même jamais fait attention à son odeur. Elle portait du parfum, en portait-elle d'habitude? C'était étrange qu'il n'ait pas remarqué tant de choses à son égard, lui qui était si curieux et observateur. Mais là encore, il ne l'aimait pas. Ça expliquait peut-être beaucoup de choses.
Le nippon s'accota un peu plus qu'il l'aurait voulu sur la française. Il ne devait pas montrer ses faiblesses. Mais voila, son débardeur noir était trempé, imbibé du sang qui lui coulait du nez et de la bouche, c'était dire qu'il se vidait réellement de son sang assez rapidement.

« Malgré le faite que tu m’as vraiment énerver et que tu te comportes vraiment comme un gros gamin prétentieux et sur de lui. Je peux pas te laisser comme ça, allez viens ! Je t’emmène à l’hôpital. »

Ses parents lui avaient appris les règles de politesse, mais réellement il ne POUVAIT PAS lui dire merci. C'était dans le domaine de l'impossible.

« Gaijin... J'aime quand tu es énervée à cause de moi. J'aime la façon dont tu me regardes, avec ta bouche légèrement entrouverte, et tes yeux accusateurs. Tu fais aussi un truc avec ton nez... Tu en es presque mignonne... »

Avait-il réellement dit ça? Une autre technique pour l'enrager? En fait, il devait carrément être en train de perdre la boule.
Heureusement, la jeune fille leur trouva un taxi rapidement, et son médecin était présent aux urgences; il le reconnut tout de suite. Pas besoin d'un dossier médical pour cet homme qui le connaissait depuis sa naissance pour savoir que Naoki avait besoin de soin intensifs.

Naoki ne sut combien de temps c'était écoulé dans cette salle d'opération, mais en sortant le chirurgien lui assura que son nez redeviendrait comme avant. Ah ben, la chance!
Aussitôt installé dans sa chambre de recouvrement, la porte s'ouvrit. Si c'était sa parents... mieux valait faire comme s'il dormait. Il ferma donc les yeux.

« Alors comment va le blesser de guerre ?! N’essaye pas de faire semblant de dormir, je reconnais la respiration des personnes qui dorment et là, tu ne dors pas ! »

Karin? Elle était encore là? Incroyable. Il rêvait? Il devait absolument rêver! Il devait s'être endormi quelque part en chemin vers sa chambre d’hôpital. Oui, voilà... Il dormait.

« Dis... tu voudrais bien foutre le camp de mes rêves, parce que franchement, je peux pas me reposer tranquillement sans que tu viennes me gâcher une nuit de sommeil. Ton toi réel vient de me casser le nez, tu pourrais au moins m'épargner aujourd'hui, non? »

Le jeune homme regarda la fille devant elle. Quelque chose clochait réellement... Il eut un rire nerveux, réalisant peu à peu ce qu'il se passait. Heureusement, la porte s'ouvrit laissant entrer son médecin de famille. Malaise évité!

« Et bien ma petite, tu viens d'éviter de perdre ton petit ami face à une porte! Naoki, tu as oublié de lui précisé que tu es hémophile! Si elle ne t'avais pas emmené ici tu y serais passé mon grand. Imaginez-vous que le gamin est une fois tombé de vélo et s'est écorché le genoux. Une simple écorchure! Ses parents lui ont mis un beau pansement, et le matin, le petit était tout livide dans son lit et ses draps plein de sang. Il a fallut l'emmener en salle de réanimation! Et il sait très bien ce qu'il a, pourtant, il aime se bagarrer et il ne devrait pas. Mais ça faisait un moment qu'on ne l'avait pas vu ici... »

Malaise évité... Ou pas.
Naoki regardait son médecin de famille avec horreur. Non en fait, un visage sans expression. Vide. Et le secret médical, il connaissait ça? Et avait-il dit : « petit ami » ??!
Naoki savait toujours quoi dire, quoi répondre, mais là... Oh là...
Le ciel lui tombait sur la tête. Cette fille, c'était la poisse.
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Maeda Karin
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptySam 20 Aoû - 9:16

La jeune Française sortit de la boîte de son plein gré, manquerait plus que deux gros dure ose la toucher, elle se serait surement énervé et mit une droite à chacun d’eux. Ils ne savent sans doute pas qu’ils venaient de mettre dehors deux yankii venant de la plus mauvaise école de la région. Karin passa la porte et tourna la tête vers Naoki qui était appuyer à côté de la poubelle, c’est fou comment cette endroit puait et le pire dans tout ça, c’est que cette endroit va parfaitement à Naoki. Karin répondit au dernière parole de Naoki avant qu’il ne sorte, elle n’était pas lesbienne et n’avait pas peur de l’inconnu mais elle ne voulait pas perdre son inconnu avec quelqu’un comme lui. Un sourire se mit sur le visage du jeune homme, avec le sang qui lui coulait du nez, ça faisait plutôt peur à voir. « ... Comme si j'étais le premier mec que tu embrassais... » Karin ne répondit rien, elle préférait rien dire car bien sur, il était le premier garçon qu’elle embrassait même si elle n’avait pas répondu à son baiser donc normalement, elle ne l’a pas embrasser mais ses lèvres n’étaient plus vierge maintenant. Elle commença à partir de son côté avant de s’arrêter et de revenir sur ses pas, elle l’attrapa par le bras et le leva, le mettant d’une façon qu’il puisse marcher en prenant appuie sur elle. « Gaijin... J'aime quand tu es énervée à cause de moi. J'aime la façon dont tu me regardes, avec ta bouche légèrement entrouverte, et tes yeux accusateurs. Tu fais aussi un truc avec ton nez... Tu en es presque mignonne... » Karin tourna la tête vers Naoki, et le regarda en haussant un sourcil avant de se mettre à rire.

« Il y a un truc qui tourne pas rond chez toi, Naoki ! Il est vraiment temps que je t’emmène à l’hôpital pour qu’il te greffe un cerveau ! »

Dit-elle appela un taxis qui s’arrêta tout de suite, elle lui désigna l’hôpital, pendant tout le voyage elle ne dit rien du tout pas un mot et pas un regard. Elle se demandait bien pourquoi il lui avait dit ça et surtout comment il a remarqué tout ça chez elle, l’observait-il ? Bien sur qu’il la regardait, elle était sa tête de turc, il ne pouvait que la regarder. Une fois à l’hôpital, il fut tout de suite transférer en soin intensif, Karin s’était assisse à l’accueil attendant qu’il sorte, pourquoi faisait-elle ça ? Elle ne le sait pas elle-même, mais après tout c’était à cause de lui qu’elle l’avait frapper mais elle avait commencer à taper en première. Quelques heures plus tard, on lui dit qu’il était réveillé, elle se dirigea vers sa porte et entra avant de lui sortir une vanne en voyant qu’il faisait semblant de dormir. Il ouvrit les yeux avant de la regarder bizarrement, elle pencha la tête sur le côté. « Dis... tu voudrais bien foutre le camp de mes rêves, parce que franchement, je peux pas me reposer tranquillement sans que tu viennes me gâcher une nuit de sommeil. Ton toi réel vient de me casser le nez, tu pourrais au moins m'épargner aujourd'hui, non? » Karin le regarda en fronçant les sourcils, il n’a pas du recevoir sa greffe de cerveau ça c’est sur. Elle tourna la tête en voyant le médecin entrer dans la pièce. « Et bien ma petite, tu viens d'éviter de perdre ton petit ami face à une porte! Naoki, tu as oublié de lui précisé que tu es hémophile! Si elle ne t'avais pas emmené ici tu y serais passé mon grand. Imaginez-vous que le gamin est une fois tombé de vélo et s'est écorché le genoux. Une simple écorchure! Ses parents lui ont mis un beau pansement, et le matin, le petit était tout livide dans son lit et ses draps plein de sang. Il a fallut l'emmener en salle de réanimation! Et il sait très bien ce qu'il a, pourtant, il aime se bagarrer et il ne devrait pas. Mais ça faisait un moment qu'on ne l'avait pas vu ici... » Karin ouvrit grand la bouche quand il prononça le mot petit ami, il est complètement malade celui-là. Mais quand elle entendit la suite, elle posa son regard sur Naoki, alors c’était donc ça son grand secret et le pourquoi, il ne se bat pratiquement jamais. Elle reposa son regard sur le docteur.

« Merci docteur, mais je ne suis en aucun cas sa petite amie et encore moins une de ses amies, c’est juste moi qui l’est retrouvé comme ça … Après qu’il se soit prit la porte en pleine poire ! »

Dit-elle en regardant Naoki dans les yeux. Le médecin leur dit ensuite qu’il pourrait sortir demain matin, Karin approuva et il sortit de la pièce. Elle tourna son regard vers Naoki et eut un sourire au coin en le voyant comme ça, elle avait toujours voulu le voir dans un lit d’hôpital, plutôt bizarre mais même avec un pansement sur le nez, elle le trouvait mignon… Sauf qu’elle ne lui dirait jamais, plutôt mourir qu’oser dire un truc comme ça à cet abruti. Elle croisa les bras sur sa poitrine avant de s’asseoir sur la chaise qui se trouvait juste à côté.

« Alors, c’est donc ça ton grand secret… tu es hémophile, c’est donc que ton sang ne coagule pas c’est ça ?! Connaître le secret de son ennemi, ça me met beaucoup d’avance par rapport à toi, je me trompes ?! … Sinon, ton nez ?! tu as mal ?! »

Dit-elle en le regardant. Elle avait taper de toute ses forces, alors il ne pouvait qu’avoir le nez casser, mais heureusement qu’il a un bon médecin sinon son nez ne pourrait jamais être normal après le coup qu’elle a donné.
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Mizukawa Naoki
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyDim 21 Aoû - 17:05

« Naoki-hun! Comme tu as grandi depuis la dernière fois! »
« Pourtant ça ne fait que deux semaines qu'on ne l'a pas vu. Alors Naoki, tu veux un bonbon? Promis, on ne le dira pas à ta maman »

Du haut de ces quatre ans, Naoki sourit aux deux infirmières à l'accueil. Tout le personnel de l'hopital connaissait son nom; il y était né et depuis, n'avait pas fait deux moins sans y aller. Ça n'aurait pas été étonnant que son premier mot fut; seringue, prise de sang ou un truc du genre. Ce lieu était devenu un deuxième foyer bien rapidement, mais jamais le petit garçon qu'il était aurait cru que les employés de cette hopital finirait par devenir sa famille. Un yanki, ce n'est pas ce qu'aucun parent sain d'esprit souhaitait.


Si la porte s'ouvrait à nouveau, il avait beau espéré que ses parents seraient ceux qui l'avait ouverte, mais il n'y avait en realité aucune chance. Surtout à cette heure de la nuit. Ils paieraient les frais, mais se déplacer pour voir dans quel état il était; jamais. L'adolescent se doutait bien que tant qu'on ne leur annoncerait pas qu'il était dans le coma ils ne se déplaceraient pas pour rester à son chevet.

Son chevet maintenant occupé par cette fille. Ironie du sort.
Il s'était esclaffer avant de lever les yeux au ciel lorsqu'elle avait mentionné la porte. Alors c'était l'excuse qu'elle avait trouvé? Naoki était sur le point d'ouvrir la bouche lorsque le médecin avait repris la parole - ignorant totalement ce que Karin venait de dire - pour annoncer que le jeune homme sortirait le lendemain.
Déjà? Lui qui avait espéré se faire dorloter quelques jours par des infirmières et des préposés, il devrait retourner à l'école avec un beau bandage et deux yeux au beurre noir (et oui, parce que quand on se fait casser le nez, c'est ce que ça fait). La poisse... Vraiment la poisse.

« Alors, c’est donc ça ton grand secret… tu es hémophile, c’est donc que ton sang ne coagule pas c’est ça ?! Connaître le secret de son ennemi, ça me met beaucoup d’avance par rapport à toi, je me trompes ?! … Sinon, ton nez ?! tu as mal ?! »

Naoki posa un regard indifférent sur Karin. Il ne l'avait pas regardé depuis qu'il lui avait adressé la parole un peu plus tôt, valait mieux faire comme si de rien était.

« Vachement honoré que tu me considère comme ton ennemi, mais Gaijin, pour moi tu n'es pas assez importante pour que je te considère comme rien d'autre qu'une... distraction. Un jouet. Rien de plus »

C'était à croire que le nippon cherchait à se faire frapper une fois de plus, mais fallait dire que si elle osait le toucher ici, il y avait de forte chance qu'elle se ramasse au poste de police. Imaginer cette française derrière les barreaux était presque jouissif pour Naoki.

« Oh! Et merci de t'inquiéter de ma santé après m'avoir toi-même infligé ça » ajouta-t-il sur un ton très sarcastique sans pour autant répondre à toutes ses questions.

Il n'avait pas mal, il était bourré de sédatif, mais lorsque l'effet serait fini... Il ne voulait même pas y penser, mais la douleur était quelque chose à laquelle il s'était habitué. Même pour une personne qui évitait de se battre, il avait eu son lot de coups dans la vie.

« Mais Gaijin tu as un point; tu connais un de mes secrets et pour ça je ne te lacherais plus d'une semelle. Si tu croyais te débarasser de moi ou même utiliser ma maladie pour me faire du chantage c'est râté. Et de toute façon... on a tous nos secrets, n'est-ce pas? »

Le jeune homme regarda l'étrangère avec insistance, ceux qui parraissaient les plus durs avaient souvent beaucoup de faiblesses à cacher. Un sentiment lui pris la poitrine, l'empechant presque de respirer. Cette fille... Cette fille... Elle lui donnait envie d'exploser, il ne savait même pas comment il faisait pour supporter d'être dans la même pièce qu'elle. Arg.
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Maeda Karin
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• a longtemps fait de la boxe française et de l'escrime, elle arrive à taper son adversaire avec toute la force qu'elle a sans se fatiguer.
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyDim 21 Aoû - 17:30

Pourquoi était-elle venu dans la chambre de Naoki, enfin la chambre d’hôpital, elle ne le savait même pas elle-même, c’est surement la joie de le voir dans un lit d’hôpital avec deux yeux au beurre noir. Bien sur, il a fallu qu’elle trouve une excuse, car comment aurait-il pu se péter le nez comme ça, avec une porte bien sur. Certes, il se fait passer pour un mec complètement débile qui sait pas regarder devant lui, mais bon c’est un peu son cas quand on le regarde bien. Enfin, certes la maladie qu’il a n’est pas vraiment drôle, Karin a eut de la chance de ne pas avoir ce genre de maladie même si normalement elle ne pourrait jamais avoir ce genre de maladie par rapport au sang qui ne coagule pas puisque avec les règles des filles, elle serait déjà morte. Enfin, il allait sortir demain matin, alors il n’y avait aucun problème, elle n’avait pas à s’en vouloir et surtout elle n’avait pas à lui dire désolé car après tout, il le méritait… son premier baiser volé, elle n’aurait jamais pensé que ce soir Naoki qui l’embrasse pour la première fois et elle en est un peu dégoûté quand elle y repense. Elle grimaça en y repensant avant de lever les yeux vers Naoki qui la regardait. « Vachement honoré que tu me considère comme ton ennemi, mais Gaijin, pour moi tu n'es pas assez importante pour que je te considère comme rien d'autre qu'une... distraction. Un jouet. Rien de plus » Karin eut un sourire au lèvre, pensait-il qu’elle allait pleurer en entendant ses paroles mais non, être un jouet est quelques choses de bien, on joue avec au début puis une fois qu’on grandit on jette, avec un peu de chance il la jettera dans peu de temps comme ça elle sera enfin débarrasser de ce vieux tas prétentieux. Elle le regarda avec toujours son sourire au lèvre.

« Dans tous les cas, on a la même vision. Tu n’es pas assez important pour que je m’intéresse à toi et pour que je te regarde de haut en bas et voir si tu as quelques choses de beau en toi. Bizarrement sur ton visage, il n’y a rien. Après tout, tu n’es pas important, tu n’es qu’un … petit mec parmi les autres. »

Elle garda son sourire pendant tout son discours, un sourire angélique qu’elle utilisait que très rarement ou alors juste dans des moments comme ça, juste pour rendre l’appareil à ce petit merdeux. A dire qu’elle venait de lui demander si il avait mal au nez, elle aurait mieux fait de se couper la langue avant de dire une chose pareil… Non, pas qu’elle s’inquiétait pour lui mais malgré son côté yankii , on l’avait bien élevé. « Oh! Et merci de t'inquiéter de ma santé après m'avoir toi-même infligé ça » Elle le regardait toujours avec son sourire, pour l’énerver sans doute, même certainement le voir en colère l’amusait beaucoup après tout, c’est aussi un jouet pour la jeune française, il n’est rien d’autre qu’un jouet … Un jour, elle le jettera à la poubelle quand il sera complètement craqué. Elle lui avait infligé ça et elle avait aussi adoré le faire car il venait de se faire battre par une fille … hum … Minable ! « Mais Gaijin tu as un point; tu connais un de mes secrets et pour ça je ne te lacherais plus d'une semelle. Si tu croyais te débarasser de moi ou même utiliser ma maladie pour me faire du chantage c'est râté. Et de toute façon... on a tous nos secrets, n'est-ce pas? » Il la regarda avec insistance, Karin lui fit un clin d’œil pour se foutre de sa tronche avant de se lever, remettant bien son short, elle tourna les talons avant de le regarder une dernière fois et de dire.

« Je suis pas comme ça, je saurais te tuer sans même utiliser ta maladie contre toi … On a tous nos secret, c’est vrai alors découvre le mien et là, on pourra jouer au même niveau. Allez Tchus ! »

Dit-elle en marchant vers la porte. Elle regarda son portable avant de voir qu’elle avait un message de sa colocataire, elle soupira avant de le remettre dans sa poche arrière du short qui était bien trop moulant avant d’ouvrir la porte et de foncer dans une infirmière qui lui renversait une cruche d’eau froide partout sur son corps, elle priait pour que son maillot ne soit pas transparent à l’eau … Trop tard, évidemment elle avait mit des sous-vêtements noir…
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Mizukawa Naoki
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyDim 21 Aoû - 18:26

Un petit mec parmi les autres? À ce qu'il sache il n'y avait pas réellement d'autres mecs, à moins que l'idiote soit en train de parler de tout ceux à qui elle avait cassé le nez avant lui. Ah! Oui, surement que c'était ça. Peut-être devrait-il changer son surnom pour "Frigide". Si elle n'était pas lesbienne, et bien avec l'attitude qu'elle se tappait elle n'avait pas pu connaitre beaucoup d'hommes... Mais peut-être avait-elle un petit ami en France qui l'attendait.
Naoki secoua légèrement la tête; pourquoi pensait-il à tout ça? Bon après tout toute l'attention qu'il portait sur Karin frolait légèrement l'obsession, mais qu'est-ce qu'il en avait vraiment à battre qu'elle soit lesbienne, prostituée, vierge ou en couple. Non vraiment rien, tout ce qu'il voulait c'était la torturer. N'empeche que ce soir, rien ne semblait fonctionner. Sauf une chose; le baiser. Recommencerait-il simplement pour la mettre hors d'elle-même?
Encore une fois, il avait le sentiment qu'il allait exploser. Et en plus elle lui faisait un clin d'oeil! Incroyable! Une expression de dégout traversa le visage de l'adolescent avant qu'il ne fasse semblant de vomir.

« Non mais elle se croit réellement mignone ou quoi? » murmura-t-il assez fort pour que l'étudiante qui se dirigeait vers la porte puisse l'entendre.

« Je suis pas comme ça, je saurais te tuer sans même utiliser ta maladie contre toi … On a tous nos secret, c’est vrai alors découvre le mien et là, on pourra jouer au même niveau. Allez Tchus ! »

« Au même niveau... Tu te prends pour qui au fait? Ouais c'est ça fou le camp! Blablablabla, c'est tout ce que tu sais faire de toute façon! »

S'il n'avait pas été branché a deux machines et au soluté, le jeune homme se serait levé et lui aurait sauté à la gorge. Elle l'énervait! Il ne pouvait rien faire d'autre que crier derrière elle jusqu'à ce que la porte soit fermée, malheureusement, les choses ne se passèrent pas ainsi.
Tout se passa tellement vite qu'il n'eut pas le temps de voir la collision venir, mais voila, l'infimière s'excusait devant Karin, et même s'il ne vouyait pas le visage de la demoiselle, Naoki se doutait bien qu'elle ne devait pas être souriante. Enfin, et puis bon, ce n'était pas vraiment le haut du corps de Gaijin que le nippon regardait.
Il déglutit bruyamment. Le bout de tissu qu'étais le short de Karin laissait place à l'imagination (quoi que avant ce moment il n'avait pas vraiment regardé ce qu'elle pourtait), mais là... Il n'y avait vraiment plus place à l'imagination; il voyait tout! Pendant un instant, il oublie même qui elle était tandis qu'il reluquait son derrière sans gêne. C'est que cette fille avant des courbes de rêve pour une asiatique. Elle n'était pas maigre comme certaine, sans formes comme d'autres. Elle était... à croquer. Il leva les yeux vers la nuque de la jeune fille, malheureusement, ses cheveux cachaient son dos. Il avait toujours aimé les dos nus de filles, c'était une manie étrange de sa part.
Heureusement pour le garçon, il vit sa camarade se tourner et il éclata de rire, effaçant tout désir ou admiration de son visage il s'exclama entre deux rires;

« Gaijin! C'est de la dentelle que t'as mis? La vision d'horreur. »

Il rit de plus belle tout en se tenant le ventre tandis que l'infirmière proposait à Karin de faire secher ses vêtements.

« Et de toute façon, mademoiselle, à l'heure qu'il est il serait peut-être mieux pour vous d'attendre le matin avant de partir, je vous emmene une couverture si vous voulez » ajouta-t-elle doucement

« Gaijin! C'était donc ça ton plan? Rester coincé toute une nuit avec moi sans pantalon? Fallait le dire » ne pu s'empecher de commenter Naoki en s'esclaffant une nouvelle fois.

Et au fond, il se sentait un peu heureux que Karin soit presque forcée de rester...
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyDim 21 Aoû - 19:08

Il fallait qu’elle parte, car même si elle ne le montrait pas devant lui, elle avait envie de le tuer de l’étrangler jusqu’à ce qu’il n’est plus de souffle, de voir de la peur dans ses yeux et de l’entendre la supplier. C’est un beau rêve pour la jeune franco-nippone, mais un jour qui sait peut-être que cela va vraiment se réaliser. Après avoir entendu tout ce qu’il avait à lui dire, elle se leva avant de lui faire un clin d’œil pour bien se foutre de lui, mais bien sur comme elle l’avait espéré, il a agit comme un vrai gamin en faisant semblant de vomir. Elle leva les yeux au ciels avant de le regarder avec l’air de dire, tu fais pitié mec ! « Non mais elle se croit réellement mignonne ou quoi? » En plus de ça, il n’était vraiment pas discret même si elle se doutait qu’il l’avait dit aussi fort pour qu’elle l’entende, mais bon il y a à peine une heure, il lui disait qu’elle était très mignonne, il devait vraiment avoir quelques choses au cerveau… ou alors, tout simplement il n’en avait pas. Elle se leva avant de le regarder une dernière fois pour lui dire au revoir avec son grand sourire comme il devait les aimer. « Au même niveau... Tu te prends pour qui au fait? Ouais c'est ça fou le camp! Blablablabla, c'est tout ce que tu sais faire de toute façon! » Elle le prenait pour quelqu’un de faible évidemment mais ça, il devait sans doute le savoir vu le regard qu’elle venait de lui lancer, elle continua son chemin quand elle remit son téléphone dans sa poche, elle ouvrit la porte et se retrouva aspergé d’eau. Karin resta quelques secondes la bouche grand ouverte sans oser trop rien dire, ou plutôt ne sachant pas quoi dire. Tous ses vêtements étaient trempé, maintenant c’était sur on pouvait tout voir, elle releva les yeux et regarda l’infirmière en face d’elle. Elle se retourna vers Naoki puisqu’elle sentait un regard dans son dos, elle le fusilla du regard quand il se mit à rire. « Gaijin! C'est de la dentelle que t'as mis? La vision d'horreur. » Elle tourna la tête vers l’infirmière qui elle aussi venait de lui parler. « Et de toute façon, mademoiselle, à l'heure qu'il est il serait peut-être mieux pour vous d'attendre le matin avant de partir, je vous emmene une couverture si vous voulez » On peut dire qu’elle avait vraiment la poisse, ne pouvant plus entendre le rire de Naoki, elle retira son débardeur d’un coup et le regarda dans les yeux.

« Oui, c’est de la dentelle et on ne t’a jamais forcé à regarder. Si cela te plait pas tanpis pour toi, tu as qu’à regarder ailleurs… Mais pense juste au faite que beaucoup de garçon aimerait être à ta place, ok maintenant TA GUEULE ! »

Dit-elle en balançant son débardeur derrière elle, elle prit la serviette que lui tendait l’infirmière et se ressuya le corps et les cuisses qui étaient aussi mouillée mais elle n’allait quand même pas retirer son short … Si ?! Voyant le regard de l’infirmière, il fallait qu’elle le retire, elle grimaça avant de retirer le bouton de son short mais elle redressa la tête et regarda Naoki avec un œil mauvais.

« Tu fais une réflexion ou un regard, je te promet que tu ne verras plus jamais la lumière. Tu as compris, gros tas ! »

Dit-elle en disant bien chaque fois, elle laissa tomber son short quand il a tourné enfin le regard et mit le vêtement que lui tendait l’infirmière un débardeur noir qui bien sur lui arrivait mis cuisse. Elle regarda le débardeur en faisant une drôle de tête et reposa son regard sur l’infirmière. « C’est bien le débardeur de votre ami, il vient juste d’être laver je penses que c’est mieux que vous ailliez quelques choses comme ça qu’une chemise ou on verra tout » Elle grimaça avant de souffler, si elle se baissait on verrait ses fesses c’est certain. Elle prit son téléphone et ses écouteurs avant de tourner le regard vers Naoki. « Gaijin! C'était donc ça ton plan? Rester coincé toute une nuit avec moi sans pantalon? Fallait le dire » Elle lui lança un regard noir, elle mit la serviette sur ses épaules et fit comme si il n’avait rien dit et se plaça dans le lit juste à côté de lui, un lit vide bien sur et heureusement pour elle sinon elle serait entrain de dormir par terre. Elle se plaça sur le flanc gauche pour lui tourner le dos et mis ses écouteurs dans les oreilles pour éviter de l’entendre encore dire n’importe quoi. Elle avait bien sur trop chaud, donc elle n’a pas mis de couverture même si dans un hôpital, il fait assez froid la jeune française était trop énervé pour ça. Plus les secondes passaient et plus, Karin entrait dans sa petite bulle qui est la musique bien sur, elle ne put s’empêcher de fredonner les paroles avant de chanter assez doucement mais assez clairement pour que Naoki entende.

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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyDim 21 Aoû - 21:33

« Oui, c’est de la dentelle et on ne t’a jamais forcé à regarder. Si cela te plait pas tanpis pour toi, tu as qu’à regarder ailleurs… Mais pense juste au faite que beaucoup de garçon aimerait être à ta place, ok maintenant TA GUEULE ! »

La vérité c'est que Naoki n'avait pas envie de regarder ailleurs, et elle enlevait ses vêtements sans gêne devant lui. Et l'espace d'un instant, Naoki pu voir son dos. La ligne fine que traçait sa colonne vertébrale. Ses rêves incessants sur Karin allait très probablement prendre un autre tournant avec tout ce qu'il venait de voir. Après tout, il était un homme comme un autre; donnez-lui matière et il allait fantasmer!

« Tu fais une réflexion ou un regard, je te promet que tu ne verras plus jamais la lumière. Tu as compris, gros tas ! »

Elle lui avait demandé de se la fermé, et en plus elle lui disait de pas faire de remarque? Elle le provoquait réellement. Karin avait raison sur un point à son sujet; il était un vrai gamin. Si on lui disait de faire une chose, il faisait l'inverse. Ça avait commencé avec ses parents et maintenant, ça se continuait avec elle. La française était bien loin d'être diplomée en psychologie masculine!
Mais l'étrangère avait de la chance, l'infirmière présente dans la chambre le connaissait depuis assez longtemps qu'elle pouvait se permettre de lui fermer le caquet si elle le désirait. Et puis, mieux valait passer pour victime auprès des employées (oui au féminin) de l'hopital; il se faisait dorloter encore plus lorsque c'était le cas. Taquiner un peu Karin pouvait passer, mais la pousser à bout devant la femme aîné ne menerait à rien de bon.
Il tourna donc la tête vers la fênetre le temps que Karin enfile SON DÉBARDEUR À LUI...

Dès que l'infimière fut sorti, il ne pu s'empecher de faire une remarque, mais Gaijin l'ignora à son grand désespoir. Le jeune homme appuya sur le bouton pour que sa couchette passe de la position assise à la position couchée et éteignit sa lumière de chevet. Lui aussi se coucha sur le flanc gauche, regardant la jeune fille dans la pénombre. Ses jambes fines, la courbe marquée au niveau de sa taille.
Après quelques minutes d'observation, il se preparait à se tourner afin de s'endormir, lorsque Karin se mit à chanter.
Le nippon arrêta son mouvement. Étais-ce vraiment Gaijin? Il ne savait pas qu'elle avait une si jolie voix. Qu'elle pouvait transmettre tant d'émotions simplement en chantant. Il se sentait appaisé, son aversion pour l'adolescente s'était soudainement évanouie.
Il l'écoute quelques secondes, puis soudainement, débrancha les deux machines qui controlaient son niveau sanguin et se leva, trainant son soluté avec lui.
Naoki s'approcha du lit où Karin était couché et après avoir fait le tour pour se trouver face à elle s'assit sur le bord de son lit. Dans la noirceur, il pouvait voir les yeux de la française se braquer sur lui.

« Continue, s'il te plait » dit-il d'une voix à pein audible

Lentement, il approcha sa main droite du visage de Karin tout en baissant le haut de son corps. Il était près d'elle, qu'il aurait pu toucher sa joue, l'embrasser à nouveau, mais au lieu de ça, il prit un écouteur des oreilles de l'étudiante et le mit dans son oreille. Le fil n'était pas long, il se coucha en face d'elle sans briser le contact de leurs yeux.
Lorsqu'elle eut fini, Naoki resta un moment silencieux, sans bouger d'un poil sans jamais cligner des yeux, puis au bout d'un moment il prit la parole;

« C'est une chanson très triste, Gaijin »

Le jeune homme enleva l'écouteur de son oreille et le posa sur l'oreiller entre leurs deux visages. Pourquoi ne l'avait-elle pas pousser en bas du lit encore? C'était une bonne question. Mais ce qui était encore moins compréhensible, c'était la soudaine affection qu'il ressentait envers elle.

« J'ai toujours cru que tu étais comme les autres, un peu moins que les autres, mais on dirait que tu es différente... Je vais dire ça parce que je suis égoiste, mais je ne laisserais plus aucun homme t'approcher. Tu sais te défendre, mais je n'aimerais vraiment pas que te voir triste comme la chanson le décris à cause d'un autre... Et ça ne sert à rien de protester, je le ferais que tu veuilles ou non. Tu es mon jouet après tout. »

Et pour la première fois, Naoki sourit doucement à Karin. L'homme qu'il était souriait à la femme qu'elle était.
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyDim 21 Aoû - 22:11

Elle était énervé, voir même assez déçu dormir dans la même pièce que lui ne l’enchantait gère car après tout, il n’a jamais eu une seule parole gentille à son égard. La jeune Française mit le débardeur de Naoki, même si elle aurait préféré mettre autre chose, au pire elle le laverait si il ne voulait pas sentir son odeur ou même lui en racheter un autre si il ne veut pas porter quelques choses qu’elle a porté elle-même. Elle se posa sur le lit, sur le flanc gauche pour regarder vers la fenêtre, évitant de le regarder lui. Elle plaça ses écouteurs sur les oreilles et mit la première chanson qui lui venait en tête à se moment là, c’était assez triste mais elle savait que cette chanson l’apaisserait et cela marcha à merveille, au bout de quelques secondes la jeune Gaijin commença à chanter les paroles. Elle ne se souciait pas du faite qu’il dormait peut-être ou même qu’il puisse l’entendre même si en principe, elle n’aimait pas qu’on l’entende chanter, personne ne l’avait jamais entendu chanter comme ça. Elle regardait en face d’elle, quand elle vit une ombre se placer devant elle, Karin la regarda et croisa une nouvelle fois le regard de Naoki, elle voulu arrêter de chanter mais il eut le réflexe de dire : « Continue, s'il te plait » Karin continua de chanter pour une raison qu’elle ignorait, elle le regarda se poser à côté d’elle dans la même position qu’elle, elle se recula un peu pour ne pas être trop proche de lui. Quand il lui toucha le visage, Karin sentit son cœur battre à une vitesse folle, serait-elle malade ? Peut-être était-ce la chaleur qui voulait ça. Dans tous les cas, il ne lui fit rien de spécial, il prit juste un de ses écouteurs qu’il mit dans ses oreilles, elle continua de chanter, jusqu’au dernière parole. Quand elle les prononça, Karin le regardait toujours dans les yeux, elle ouvrit légèrement sa bouche. « C'est une chanson très triste, Gaijin » Elle approuva de la tête avant de retirer elle aussi son écouteur, elle éteignit le mp3 qu’elle laissa entre les deux.

« Tu as trouvé un de mes secrets … J’aime chanter et tu es le premier à savoir que je chantes, on est au même niveau maintenant. »

Karin le regardait toujours mais ne bougeait pas, elle ne voulait pas quitter son regard même si elle ne voyait que la lumière de ses yeux, elle était en contre jours la lune reflétait son visage mais pas celui de Naoki. Elle tendit sa main doucement vers lui et lui caressa le front descendant doucement sur sa joue avant de relaisser son bras tomber sur le lit. « J'ai toujours cru que tu étais comme les autres, un peu moins que les autres, mais on dirait que tu es différente... Je vais dire ça parce que je suis égoiste, mais je ne laisserais plus aucun homme t'approcher. Tu sais te défendre, mais je n'aimerais vraiment pas que te voir triste comme la chanson le décris à cause d'un autre... Et ça ne sert à rien de protester, je le ferais que tu veuilles ou non. Tu es mon jouet après tout. » Karin le regarda sans rien dire, voir son sourire pour la première fois la choquait assez mais elle ne mit que quelques secondes avant de lui rendre son sourire. Elle se laissa tomber sur le dos avant de regarder le plafond sa main n’était qu’à quelques millimètres de celle de Naoki mais elles ne se touchaient pas.

« Je suis différente, n’oublie pas que je suis une Gaijin… Les garçons ne m’approchent pas ou du moins, moins souvent qu’avant, je suis toujours triste Naoki. C’est devenu une habitude mais elle s’est renforcé depuis quelques heures, tu m’as volé mon premier baiser Naoki. Un premier baiser doit être fait avec celui qu'on aimera toute sa vie »

Dit-elle en regardant le plafond. Elle passa une main dans ses cheveux avant de fermer les yeux doucement, elle n’essayait pas de dormir, elle voulait juste pouvoir réfléchir cette situation la troublait, il y a à peine 5 minutes, ils étaient entrain de s’engueuler et maintenant il est … Gentil avec elle… Elle ne bougeait pas et attendait qu'il parle, jusqu'au moment ou elle se mit à frisonner, elle avait froid mais elle n'allait pas lui dire, elle passerait pour une faible. De plus, elle n'était plus énervé donc elle ne pouvait qu'avoir froid.
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Mizukawa Naoki
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyDim 21 Aoû - 22:59

C'était la première fois qu'ils étaient d'accord sur quelque chose. Qu'ils se regardaient, qu'ils échangeaient calmement.
« Tu as trouvé un de mes secrets … J’aime chanter et tu es le premier à savoir que je chantes, on est au même niveau maintenant. »
Naoki allait lui répondre que son secret n'était pas réellement un secret comme le sien. Sa voix et sa passion pour le chant n'était pas une faiblesse comme sa maladie l'était pour lui; au contraire, elle avait un talent, elle pouvait se rendre loin avec ça. Mais Karin bougea, Karin le toucha, le caressa. C'était étrange, ça ne dura pas assez longtemps. Il aurait aimé attrapper sa main et la laisser là.
Le nippon était expérimenté avec les filles, mais il en connaissait peu en meme temps. Ces moments de tendresses, il n'en avait connu que très peu. Il ne s'était jamais ramassé dans un lit aussi petit avec une fille sans que celle-ci ait une idée en arrière de la tête. Jamais non plus il n'avait regardé une fille comme il regardait Karin. Et jamais il n'avait senti le besoin de simplement rester allongé auprès d'une femme sans pour autant passer à l'acte avant aujourd'hui. Tout comme avec sa petite soeur et Natsumi il avait soudainement envie de la protéger. C'était égoiste, mais il voulait le faire et il lui en fit part.
L'adolescent se serait attendu à des protestations, pas à un sourire. Était-elle donc en train de lui donner la permission de le faire? C'était à croire que Karin ne pouvait développer des relations qu'avec les gars à qui elle avait tenté de casser le nez. Compassion? Pitié? Remord? Aller savoir...
« Je suis différente, n’oublie pas que je suis une Gaijin… Les garçons ne m’approchent pas ou du moins, moins souvent qu’avant, je suis toujours triste Naoki. C’est devenu une habitude mais elle s’est renforcé depuis quelques heures, tu m’as volé mon premier baiser Naoki. Un premier baiser doit être fait avec celui qu'on aimera toute sa vie »
Naoki regarda le profil que lui offrait la jeune femme, puis après avoir passé un main dans ses cheveux, elle ferma ses yeux. Devait-il s'excuser d'avoir voler son premier baiser comme elle le disait? Avec ce qu'elle venait de dire il se sentait tout sauf coupable.

« Pour un homme, l'important ce n'est pas celle avec qui il a eu son premier baiser, mais celle qui sera la seule et l'unique qu'il voudra embrasser pour le reste de sa vie. Tu devrais penser pareil, Gaijin »

La jeune fille frissonna à ce moment. Étais-ce à cause de ce qu'il venait de lui dire ou bien simplement à cause du froid? Naoki se redressa et attrapa la couverture a leur pied qu'il étendit sur elle, s'assurant que ses pieds étaient bien couverts. Il était un Yanki depuis plus de 4 ans maintenant, mais il avait été un grand frère depuis bien avant cette époque. Avec un père très peu présent, il avait été la seule figure masculine présente pour sa soeur de trois ans sa cadette. Elle n'avait jamais critiqué son mode de vie présent, mais si elle faisait, il changerait. Si elle aussi voudrait un jour devenir une Yanki, il s'y opposerait. Toujours est-il que Naoki savait prendre soin des autres s'il en avait envie et c'est ce qu'il fit à ce moment.

« Les hommes t'approcheraient peut-être un peu plus si tu ne leur cassais pas le nez à tous les coups tu crois pas? »

Naoki ne se recoucha pas à côté de Karin, il s'apprêtait à retourner vers son lit lorsqu'une question lui passa soudainement par l'esprit

« Tu dis que tu es triste, est-ce que c'est un homme qui pourrait te rendre heureuse? Qu'est-ce qui te rendrait heureuse, Gaijin? »
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Maeda Karin
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• a longtemps fait de la boxe française et de l'escrime, elle arrive à taper son adversaire avec toute la force qu'elle a sans se fatiguer.
• fait aussi du yoga pour canaliser ses émotions.



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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyDim 21 Aoû - 23:21

Le regard braqué sur le plafond, la jeune française ne savait plus quoi dire après cela, elle venait de lui révéler deux secret même si quand on regardait bien le premier n’était pas vraiment un gros secret, mais un ennemi peut tout utiliser contre son ennemi pour le faire tomber même le chant. Il ne répondit pas à ses premières paroles et tant mieux, Karin n’aurait plus su quoi dire, elle passa une main dans ses cheveux avant de parler de son premier baiser qu’il lui avait prit. Elle aurait du le faire avec celui qu’elle aimerait toute sa vie, mais maintenant c’est impossible, elle l’avait perdu… Autant qu’elle oublie cette histoire de baiser, et qu’elle passe à l’acte avec le premier venu… Non, impossible, Karin ne peut s’approcher de trop près des hommes, c’est une phobie qu’elle a toujours eu, c’est pour cela qu’elle les frappe dès qu’ils la touchent. « Pour un homme, l'important ce n'est pas celle avec qui il a eu son premier baiser, mais celle qui sera la seule et l'unique qu'il voudra embrasser pour le reste de sa vie. Tu devrais penser pareil, Gaijin » Karin regardait toujours en face d’elle, elle laissa une de ses mains dans ses cheveux et commença à jouer avec une de ses mèches, le regard perdu dans le vide, elle respirait calmement.

« Il faut juste que je trouves la bonne personne, un garçon qui saura me supporter comme je suis et surtout qui n’aura pas peur de voir mon visage rempli de cicatrice et de bleu dut à mes combats. »

Dit-elle en souriant. C’est vrai qu’il faudra qu’il la supporte, elle et son sale caractère et son côté je ne supporte pas qu’on me donne des ordres. Karin regardait toujours devant elle, mais elle senti des frissons sur son corps, elle n’eut pas le temps de faire grand-chose avant que Naoki ne mette la couverture sur elle. C’était bien la première fois qu’elle était aussi proche d’un mec autre que ses amis les plus proches et son cousin. « « Les hommes t'approcheraient peut-être un peu plus si tu ne leur cassais pas le nez à tous les coups tu crois pas? » Karin tourna la tête légèrement vers lui, et le regarda une nouvelle fois dans les yeux.

« Je ne veux pas que les hommes m’approchent, je n’ai pas confiance aux hommes, c’est pour cela que je suis comme ça avec, on peut jamais savoir ce qu’ils ont en tête et je dois dire que la plupart pense qu’au sexe. D’ailleurs, je suppose que la plupart des garçons ont des admiratrices et on le pouvoir de changer de filles toutes les heures… Ce genre de garçons, j’évites de trop les approcher. »

Dit-elle en le regardant. Elle savait qu’il était ce genre de type à avoir des admiratrices en tout genre, elle allait surement devoir se battre demain quand ils vont savoir qu’elle a dormi dans la même chambre d’hôpital que lui. Il se leva voulant surement partir se recoucher et bizarrement la jeune française voulu le retenir mais elle n’osa rien faire, mais il s’arrêta et la regarda. « Tu dis que tu es triste, est-ce que c'est un homme qui pourrait te rendre heureuse? Qu'est-ce qui te rendrait heureuse, Gaijin? » Karin le regarda pendant quelques secondes avant d’oser les épaules avant de sourire.

« Je supposes que oui, je ne sais pas vraiment quand j’aurais trouvé l’homme, je te dirais si oui ou non, il peut me rendre heureuse. Ma liberté, peut-être la sensation d’amour que beaucoup de fille de mon âge, on est déjà ressenti mais pas moi, ni ici, ni en France aucun coup de cœur à croire que j’ai un cœur de pierre. »

Dit-elle en laissant tomber sa tête vers la droite, la ou se trouvait le lit vide de Naoki. Allait-il dormir dans son lit à côté d’elle ou rester avec elle.
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyLun 22 Aoû - 0:23

Il n'avait pas vraiment de mots pour la rassurés lui dire que ses cicatrices ne se voyaient pas, qu'il avait bien beau aimer la taquiner, elle était jolie. Elle devait le savoir non? Tant de garçons bavaient sur son passage, mais elle ne laissait aucuns entrer dans sa vie. Au lieu de ça, il décida de passer un observation sur comportement avec les hommes, et il aurait du sentir la baffe lui venir au visage
« Je ne veux pas que les hommes m’approchent, je n’ai pas confiance aux hommes, c’est pour cela que je suis comme ça avec, on peut jamais savoir ce qu’ils ont en tête et je dois dire que la plupart pense qu’au sexe. D’ailleurs, je suppose que la plupart des garçons ont des admiratrices et on le pouvoir de changer de filles toutes les heures… Ce genre de garçons, j’évites de trop les approcher. »
Elle l'avait regardé droit dans les yeux en disant cela. Il comprenait le reproche qu'elle lui faisait. Il soupira, sans perdre son sourire.

« Tu fais bien de ne pas avoir confiance en nous » dit-il d'une voix si basse qu'elle en parraissait caverneuse.

Naoki n'avait pas toujours était ce genre de type. Il aimait croire qu'il ne l'était pas si on ne lui donner pas la chance de l'être. Il avait 15 ans lorsqu'il avait décidé de devenir un yanki, après un an, il avait commencé à avoir des admiratrices dont fit partie sa première petite amie. Première et unique. À vrai dire, il avait espéré avoir quelque chose de sérieux avec elle, ça n'avait duré qu'un ou deux mois avant qu'il découvre qu'elle voyait d'autres garçons. Naoki n'était pas amoureux d'elle, heureusement, mais depuis ce moment il n'avait pu avoir quoi que ce soit de sérieux avec aucunes filles. Selon lui, tant qu'une femme lui donnait l'espace de croire qu'elle était rien d'autre qu'une catin, il pouvait en profiter. Le jeune homme attendait en quelque sorte la perle rare pour se ranger. Ce n'était pas pour rien qu'il ne faisait aucunes avances, à vrai dire les relations superficielles et éphémères dont il avait l'habitude ne l'amusait plus depuis belle lurette. Mais un homme peut parler beaucoup mais il ne parle que très rarement de ses sentiments. C'est pour ça qu'il se tut et ne tenta pas de racheter sa réputation devant Karin.
L'adolescent se préparait à retourner dans son lit lorsqu'il posa une autre question à laquelle Karin lui donna une réponse devant laquelle il resta quelque peu perplexe.

« ... Ouais, tu me diras, j'aimerais savoir c'est comment aussi... »

Il se tourna pour lui faire face et se pencha au-dessus d'elle pour déposer un leger baiser sur son front.

« Bonne nuit, Gaijin. »

Mais Naoki ne bougea pas, restant au-dessus d'elle. Si elle lui demandait de rester, il resterait, sinon, son lit n'était pas très loin de toute façon.
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Maeda Karin
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MessageSujet: Re: Club Banggers [ft Kakao&Gaijin]   Club Banggers [ft Kakao&Gaijin] EmptyLun 22 Aoû - 0:45

Les confidences étaient au rendez-vous pour Karin, elle répondait à chaque question avait toujours autant de sincérité et de franchise que cela faisait vraiment peur. Elle ne voulait pas que les hommes l’approchent, car ils étaient tous les mêmes pour elle, des mecs pensant qu’au sexe et qu’à leur propre envie au lieu de penser au envie des femmes présentent autour de lui. Karin n’avait pas confiance en ce genre de garçon, elle n’avait pas confiance au garçon en générale sauf ceux qui lui ont montré le contraire. « Tu fais bien de ne pas avoir confiance en nous » Il avait été visé, elle savait qu’il était comme ça et elle aurait vraiment voulu qu’ils ne soient pas comme ça, même si il a une raison ou non, il n’aurait pas du être ce genre de mec. Elle le regardavdans les yeux avant de lui faire un sourire, un de ses sourires au coin bien à elle. « ... Ouais, tu me diras, j'aimerais savoir c'est comment aussi... » Elle le regarda avant qu’il ne se penche vers elle, Karin sentit sa gorge se nouer et ses mains devenir moite, il ne fallait surtout pas qu’elle panique comme ça. Elle voulu le retirer mais il lui déposa juste un baiser sur le front avant de repartir la ou il était placé. Karin sentit des goûtes de sueur tomber sur son front et des sueurs froides par la même occasion. « Bonne nuit, Gaijin. » Il était resté près d’elle, cherchant sans doute une réponse, Karin tendit la main et lui attrapa la main qu’elle serra un peu dans sa pomme.

« Reste dormir avec moi, s’il te plait ! Juste pour cette nuit, avant que tout ne disparaisse, avant qu’on ne recommence à se disputer comme d’habitude avant que la vie ne reprenne son cours ! »

Dit-elle en le regardant dans les yeux. Elle sourit en le voyant se rapprocher d’elle, il se plaça au même endroit que tout à l’heure et se coucha sur le dos, Karin tourna la tête et déposa sa tête sur l’épaule du jeune nippon. Demain, ils auront surement tout oublier alors autant qu’ils en profitent pour l’instant. Karin ne tarda pas à s’endormir dans les bras de Morphée au côté d’un parfait inconnu qui n’était pas si inconnu que ça quand on les regardait dormir. L’infirmière repassa dans la chambre et fut touché de les voir comme ça même si elle les avait quitté entrain de s’engueuler. Elle était persuader que quelques choses allaient se produire entre eux. Ils s’endormirent tous les deux et le lendemain matin, Karin fut lever la première elle regarda une dernière fois Naoki avec gentilesse avant de se lever et de s’habiller comme laveil. Elle repartit d’un pas sur vers l’établissement sans avoir laisser aucune nouvelle à Naoki, d’après elle il n’en avait pas besoin. Elle marchait dans la rue avec un grand sourire, mais une fois devant l’établissement, elle rangea son sourire et sa bonne humeur pour laisser place à de fierté et du pouvoir. C’est maintenant que tout recommence comme avant, elle retourna dans sa chambre mit son uniforme et hop, direction les couloirs de Arienai pour qu’elle se défoule un peu avant le petit déjeuner.


End
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