Ichinose RenMessages : 4 Date d'inscription : 19/09/2011 Age : 31 Surnom : Yue (月, la Lune) Année : 3ème année Technique de combat : S'il n'aime pas vraiment se battre et évite de ce fait les combats inutiles, Ren n'en est pas moins un redoutable et dangereux adversaire. C'est un expert dans l'art du sabre et manie sans commune mesure le shinai et le katana. C'est sa méthode de combat de prédilection, mais ayant pratiqué l'aikidō, et possédant quelques notions basiques de boxe, il est tout aussi redoutable au corps à corps. Avatar : Hero Jae Joong (DBSK/JYJ)
| Sujet: Ichinose Ren ▬ おぼろ月の下に蓮の花 [U.C] Mar 27 Sep - 2:44 | |
| ICHINOSE REN interprété par Hero Jae Joong ETAT CIVIL
Nom : Ichinose Ren (一之瀬 蓮) Surnom : Yue (月, la Lune) Age : 18 ans (3ème année) Team : Indépendant Orientation sexuelle : Bisexuel Statut : Célibataire. Technique de combat : S'il préfère éviter les combats inutiles, Ren n'en est pas moins un adversaire redoutable à affronter. Il a pratiqué le l'aikidō dans ses plus jeunes années. Il a également quelques notions de boxe apprises par un ami. Cependant, son domaine de prédilection reste le sabre : il pratique le kendō, l'iaidō et le shinkendō. Il possède un shinai ainsi qu'un véritable katana, bien qu'il préfère ne pas avoir à vraiment utiliser ce dernier. A PROPOS DE REN
「孤独な花が遠い思い出と暖かい太陽の失われた日のために静かに泣いて。」 Peu bavard, son air distant, sa tendance à rester relativement à l'écart des autres et à toujours garder une certaine distance même avec les personnes avec lesquelles il entretient une relation, font de lui, quelqu'un de difficilement approchable. Cependant, son détachement n'est pas là, marque d'asociabilité ou de timidité. Il a toujours été ainsi; n'accordant aucune importance à la manière dont les autres le perçoivent... Mais comme tout le monde, Ren a ses blessures et son propre fardeau à porter. Et le reflet lointain qui brille dans ses yeux sombres, rivés sur les éclats brisés d'un temps désormais révolu, ses secrets et tous ses non-dits, font Ren un être profondément mélancolique. Et à ceux qui pensent que son attitude détachée n'est qu'un moyen de se protéger lui-même, il répond simplement et invariablement : « Non, je ne cherche pas spécialement à me protéger... ». Ce n'est pas un mensonge, c'est juste un fait, une affirmation teintée de résignation... 「単純な日々を恐れていたのはもう遠い昔 複雑な日々こそ悲しいのを知ってる」 Ses rares sourires parfois un brin narquois, son sarcasme bon enfant, ses remarques ironiques et acerbes qui fusent du tac au tac à l'encontre de ceux qu'il n'apprécie pas, montrent cependant qu'il y a bien plus que cette figure esseulée telle qu'elle apparait aux yeux des autres. Si on tente de l'approcher, il ne refusera pas de nouer des liens, mais il n'accorde pas sa confiance si facilement et même après, il ne se confiera pas facilement. C'est un être ouvert et discret, et avec son caractère il est dur de croire qu'il ait pu faire partie d'un gang. A contrario, il est capable d'être très éloquent, ce qui n'est généralement pas une bonne chose, puisque cela signifierait que vous êtes dans sa blacklist ou tout du moins pas vraiment dans ses petits papiers. De manière générale quand il s'exprime, Ren est spontané et ne mâche pas ses mots, il balance ses quatre vérités en pleine face à quelqu'un comme il dit bonjour. Il n'a pas peur des mots et dit généralement ce qu'il pense sans détour, en bien comme en mal. Il sait être une véritable langue de vipère avec ceux qui le cherche, et les réponses acerbes et sarcastiques, du tac au tac, pleuvront sans pitié. Mais il faut cependant savoir que même dans ses cas-là, il sait se modérer parce qu'il sait qu'il y a des choses qui ne disent pas, même quand on est en colère. De la même manière, même s'il est en froid avec quelqu'un et qu'il connait un secret de cette personne, il n'ira jamais le divulguer peu importe l'état de leur relation. Pour lui, un secret est un secret, et il considère cela à la fois comme une marque de confiance si il a été confié volontairement, et de vulnérabilité malvenue quand on tombe dessus par hasard. De plus, il trouve lâche au possible d'utiliser un secret pour faire chanter les gens ou pour les blesser. Ses amis disent de lui qu'il est quelqu'un de gentil, compréhensif, posé, intelligent, loyal et généreux, au caractère serein et à la force tranquille. Mais, même si Ren est quelqu'un d'à la fois placide et pondéré, se serait une erreur de croire qu'il est inoffensif. En effet, bien qu'il n'aime pas se battre, il n'en est pas moins un redoutable combattant au corps à corps et un expert dans l'art du sabre. Ses aptitudes ont été affinées par des heures de pratiques ainsi qu'une certaine expérience sur le terrain... S'il est provoqué et qu'il a une raison de se battre, il n'aura alors aucune hésitation à sortir et ses griffes de leur étui de velours. Il est également capable d'un sang froid à faire pâlir un iceberg, et dans ces cas-là, la pitié n'est pas de mise et son adversaire ne s'en sortira pas en un seul morceau. De ce fait, il avoue lui-même être un brin impulsif quand l'enjeu des batailles est soit l'honneur, soit la sécurité de ses camarades. Il ne se bat donc que très rarement pour lui-même. Il considère d'ailleurs comme un précieux privilège le fait de se blottir dans un sofa en compagnie de ses amis, à manger des cochonneries, parler de tout, de rien et surtout de choses inutiles, rester là, à glander ou à faire des bêtises, rire comme des idiots et jouer à des jeux stupides jusqu'au petit matin... Autant dire que le monde de Ren tourne autours de ses amis, parce que pour lui, ils sont tout ce qu'il a et lui sont donc très important. Les choses que Ren aime n'ont jamais changées, tout comme celle qu'il déteste. Peu importe le nombre d'années qui passent et les évènements qui viennent bousculer sa vie. Les instants précieux passés en compagnies des êtres qui lui sont chers, jouer du piano, se balader sous la pluie jusqu'à être trempé jusqu'à l'os, le kendō, les bains mousseux, la mer, contempler le ciel, la nuit, les tatouages, les piercings, les pommes et les sushis... Tout ceci fait parti de lui. De la même manière qu'il ne supporte pas les fouineurs, les commères qui cherche à tout savoir sur vous pour ensuite vous casser du bois sur le dos. Il ne pardonne pas la trahison, tout comme il n'accepte pas la discrimination et la maltraitance. S’il ne se mêle jamais aux bagarres opposants deux gangs, il n'hésitera cependant pas à intervenir s'il voit des délinquants s'en prendre à une personne ordinaire qui ne leur à rien fait. Abandonné quand il avait deux ans par sa mère, Ren à été élevé par son oncle et sa tante du côté maternel. Son père, lui, serait mort avant sa naissance. C'est tout du moins ce qu'on lui à dit, mais il ne peut en être sûr, car après tout, on lui avait dit la même chose pour sa mère jusqu'à ce qu'il ne découvre la vérité. S'il a toujours entretenu une bonne relation avec sa tante, son oncle lui restait distant et froid dans ses interactions avec son neveu. Ren n'avait d'ailleurs que peu de contact avec lui, son oncle ne lui parlait que rarement et uniquement pour des choses importantes telles que le choix d'école, les règles de vie, et c'était tout. C'est sa tante qui lui apprit à jouer du piano dès son plus jeune âge. Il adore jouer du piano. Il trouve sur le clavier d'ivoire et dans les notes claires d'une quelconque mélodie, réconfort et sérénité. Cela lui permet d'échapper ne serait-ce qu'un peu à la réalité et de réfléchir. C'est à partir du collège que sa vie prit un tournant différent. Son oncle après un accident le laissant handicapé, finit par perdre son travail. Il n'acceptait pas cette fatalité et en plus de ne quasiment plus rentrer à la maison, il s'était mis à boire et était de ce fait des plus désagréables, que ce soit avec Ren ou sa femme. Sa tante, qui avait une santé trop fragile ne pouvait travailler et de plus, l'état d'esprit de son mari la plongea dans une profonde dépression. Bientôt il y eut des problèmes d'argent, et Ren ommença à prendre des petits boulots en plus de l'école pour gagner un peu d'argent et aider comme il pouvait. Au lycée, il commença à se prostituer pour gagner un peu d'argent en supplément, pour lui-même. C'est peu de temps après qu'il fit la connaissance de Shūhei, celui qui deviendra son meilleur ami, son frère de cœur, et son futur chef de gang. Il intégra le gang de son ami quelque mois après leur rencontre. En sa qualité de meilleur ami de ce dernier, il devint l'un de ses piliers. Il arrêta de ce fait la prostitution et eu une relation plus ou moins stable avec un des autre piller, une jeune femme de deux ans de plus que lui, au caractère bien trempé, Mayuka. Mais un jour, vers la fin de sa deuxième année de lycée, il y eut une rixe avec un autre groupe et personne alors ne s'imaginait que celle-ci, plus violente que les autres, finirait par très mal tourner. Son meilleur ami, le leader y perdit la vie et il y eut plusieurs autres blessés, notamment la petite sœur de son ami, Kyōko , qui est aujourd'hui encore dans le coma. Le gang s'est dissous suite à cet évènement. Son surnom, Yue, est le nom chinois de la lune. C’est la petite sœur de son meilleur ami qui le lui a donné. Selon elle, il ressemblerait à l’astre nocturne : beau, distant, solitaire, protecteur bienveillant et mystérieux qui va et vient sous le couvert de la nuit. Il est à noter qu'il a neuf piercings : cinq à l'oreille droite et quatre à l'oreille gauche. Il a un tatouage dans le bas du dos : un dragon et un poisson koi entremêlés formant le symbole du yin et du yang (pour avoir un aperçu du tatouage). Il s'est fait ses piercings et son tatouage peu de temps après être entré dans le gang. Il fume, bien que de manière modérée et sa marque de cigarette préférée est Winfield. 「単純な日々を恐れていたのはもう遠い昔 複雑な日々こそ悲しいのを知ってる
思ったよりも人間はずっと強いものね 少し長く 闇の中にいたいけれど そろそろ行くわ」 |
© Moyashi | BIOGRAPHIE
Veuillez écrire ici la biographie de votre personnage : enfance, adolescence, anecdotes importantes... n'oubliez pas de présenter également le caractère de votre personnage et ses liens importants tout comme la raison de son arrivée dans un lycée comme Arienai et pourquoi il/elle est devenu(e) un(e) yankii (ou pourquoi il/elle n'en n'est pas un !) |
LE JOUEUR
Surnom : Moyashi-chan (aussi connue sous YangXia, Lady of Spade et Cymel) Age : J'aurais 19 ans le 23 octobre prochain. Comment as-tu connu le forum ? Par le partenaire, d'un partenaire, d'un partenaire, d'un partenaire, d'un partenaire, [...], d'un partenaire d'un forum sur lequel je suis x3 Statistique : Hum... Je dirais que j'ai une moyenne d'environ 5/7, après ça dépend de mon emploi du temps ^___^ Exemple de RP : - Spoiler:
Quand le sommeil et le monde chimérique des songes, déserta Lan Hua, il était encore très tôt car dans sa chambre, seule filtrait la lumière vacillante des étoiles qui commençaient une à une décliner dans la sombre immensité du ciel encore nocturne. Loin de se trouver irritée d’avoir perdu le sommeil, la jeune femme resta immobile un moment sur sa couche à savourer le silence serein qui régnait en maître pour quelques moments encore. Elle aimait ces matins là, où elle se réveillait tôt, bien avant que le soleil ne se lève. C’était un de ces instants d’or qu’elle n’échangerait pas même pour tous les trésors du monde. Y a-t-il plus grand plaisir que de pouvoir surprendre le monde quand il dort encore, l’observer sans qu’il s’en doute ? Elle se redressa et s’étira à la manière d’un chat pour chasser les petits engourdissements de son corps qui venait tout juste de s’extirper aux limbes du sommeil. Aussi silencieuse souple qu’un félin, elle repoussa ses draps et se saisit d’un chandelier tout proche et alluma la bougie qui l’ornait pour traverser la pièce d’un pas léger et souple. Sur le dossier de la chaise faisant face à son petit espace de toilette, reposait un châle vert clair qu’elle revêtit sur le hanfu blanc revêtu pour la nuit et se dirigea vers l’entrée de ses quartiers pour se chausser. A quoi beau se vêtir d’autre chose quand on sait que les chances de croiser quelqu’un à cette heure-ci, étaient nulles. Elle vérifia l’état de la bougie pour s’assurer qu’elle ne se retrouverait pas bêtement dans le noir à mi-chemin, et une fois satisfaite, elle se glissa comme une ombre dans les couloirs du palais encore endormi pour rejoindre les jardins. Lorsqu’elle arriva à destination, elle pu alors contempler toute la beauté du monde encore bercé par le soyeux manteau de ténèbres de la nuit mourante, qui pour l’instant encore veillait sur le repos des hommes.
“C’est beau un monde sans couleur qui n’a pas encore le souci des hommes et de leurs querelles.”
Alors elle se glissa dans les jardins du palais. La végétation était toute mouillée, les feuilles alourdies par des milliers de perles de rosée qui portaient avec elles, le parfum frais et apaisant de la nuit presque révolue. C’est comme si tout semblait attendre. Attendre que le jour poigne à l’horizon, pour doucement s’ouvrir à la vie d’un jour nouveau. Ses pas semblaient résonner dans le silence alors, par gêne peut être, ou par envie de pouvoir savourer un peu plus longtemps cet instant si parfait et si éphémère, elle se déchaussa. Le sol frais et humide sous ses pieds était agréable, tout comme la petite brise fraiche qui faisait jouer avec elle sa longue chevelure d’ébène qui retombait en cascade sur ses épaules pour mieux s’en aller virevolter à chaque nouveau coup de vent. C’est différent un monde qui n’est pas encore baigné de lumière. On peut en savourer toutes les senteurs et prêter l’oreille à chacune de ses mélodies… C’est bon de pouvoir se fondre dans le monde sans qu’il nous aperçoive…
“Si je me levais tous les matins, est ce que se serait tous les matins aussi beau ? Aussi exaltant d’être la première dehors à accueillir le jour nouveau ?”
Lan Hua se laissant ainsi aller à la rêverie jusqu’à ce que presque toutes les étoiles aient cessé de briller et que le ciel soit devenu plus clair. Alors, petit à petit l’aube pointait le bout de son nez, suivi paresseusement du soleil. Magie d’un instant. Tous prenait des couleurs et s’éveillait à la vie, accueillant avec joie cette nouvelle journée donnée. Après que l’aube ait fait son apparition, la jeune femme se rechaussa et quitta les jardins qui ressemblaient à présent à une peinture avec toutes ces couleurs. Elle regagna lentement ses quartiers et entendit de loin le palais qui commençait à s’éveiller. Les hommes tirés des brumes de leurs rêves et de leurs draps, allaient peu à peu investir les couloirs encore déserts de la maison du seigneur. Quand à elle, elle ferait d’abord sa toilette choisirait sa tenue pour le jour, se coifferait et se maquillerait avant de déguster un peu de thé accompagné de quelques biscuit pour finalement vaquer à ses occupations de la journée, qui se résumerait à trouver compagnie auprès des autres nobles et dames de la cours et d’écouter les derniers ragots.
“C’est là, mon inlassable routine à quelques exceptions près. Ma vie n’a rien de très passionnant… Non pas que je rêve de grandes aventures, je préfère vivre aussi simplement que possible malgré toute l’attention que j’attire inéluctablement sur moi rien qu’en faisant grâce de ma présence.”
Pourtant aujourd’hui, cette journée qui avait commencé de la plus merveilleuse des manières ne sembla pas continuer ainsi : la jeune femme après avoir revêtu un habit vert pomme accompagné d’une “ceinture” d’un ton plus foncé, un ruban retenant ses cheveux en une queue de cheval basse et passé autour de son cou le pendentif offert par son défunt mari (un disque serti de pierres de jade vertes), elle se trouva à errer dans les couloirs du palais en jouant de l’éventail qu’elle avait emporté avec elle. Elle n’avait pas de réel but, elle s’amusait juste à voir les gens s’affairer comme une fourmilière pour se rendre là où ils étaient censés se trouver, lui lançant de temps à autre une salutation pressée. Le matin, après le levé du soleil, était l’un des deux instants ou la royale demeure était des plus agitée. Après, c’était le soir lorsque le jour tombait derrière l’horizon et que chacun s’affairait à clore sa journée de labeur pour regagner ses quartier et prendre un repos bien mérité. Pendant presque une heure celons ses estimations, elle s’était balladée de-ci, de-là dans les couloirs, rendant l’un ou l’autre service à quelques comparses féminines qui se trouvaient dans une presque habituelle détresse matinale. Les femmes aiment vraiment rendre les choses aussi compliquées qu’elles le peuvent. Voilà sans doute pourquoi l’on entend souvent les hommes se plaindre de ne pouvoir comprendre la gente féminine. Un petit sourire aux lèvres, elle passa machinalement le bout des doigts sur son pendentif en pensant qu'elle devrait “examiner” le fermoir qui lui avait semblé étrange se matin, seulement pour ce rendre compte que l’objet en question ne se trouvait plus accroché autour de son cou.
“Mon pendentif ?!”
Sous la surprise, elle lâcha non seulement son éventail mais laissa échapper une petite exclamation de surprise. Elle essaya de se calmer et de réfléchir à toute allure. Quand pouvait-elle l’avoir perdu, mais surtout, où ? S’il ne s’agissait que d’un simple bijou, elle ne s’affolerait pas mais il s’agissait là du précieux premier cadeau que lui avait fait son époux qui aujourd’hui n’était plus de ce monde. Elle ne pouvait pas perdre un objet aussi important et aussi précieux pour elle. Elle ne prêta aucune attention aux regards curieux ou étonnés qu’on lui lançait, ni a ce qui l’entourait tout court, elle devait retrouver son pendentif rapidement. Mais pour cela elle devait d’abord se calmer les battements hiératiques de son cœur, et ce pour la première fois, sans grand succès…
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